martedì 10 agosto 2021

LA PLANETE EN DANGER - THE CLIMATE CHANGE

 La planète en danger : le temps presse, alerte le GIEC

UN warns of ‘irreversible’ effects of human-induced climate change

Le climat change plus vite que prévu et l’humanité porte une grande part de responsabilité: c’est le principal enseignement du 6e rapport du GIEC, groupe international de scientifiques spécialisés sur la question, publié ce lundi 9 août 2021. Il pointe des changements irréversibles, même si une marge d’action reste encore possible.

Le rapport, réalisé par environ 230 scientifiques de 66 nationalités qui se sont basé sur 14 000 études publiées, ne laisse aucune place au doute: le réchauffement s’accélère et risque de faire augmenter la température planétaire de + 1,5 degrés dix ans plus tôt qu’estimé.

Explosion des émissions de CO2

En 2019, les concentrations atmosphériques de CO2 étaient les plus élevées des deux derniers millions d'années et celles des principaux gaz à effet de serre - méthane et dioxyde d'azote - les plus élevées des 800 000 dernières années. En outre, au cours du dernier demi-siècle, la température de la Terre - causée par ces émissions liées aux activités humaines - a augmenté à un rythme inégalé au cours des 2 000 dernières années, et le niveau moyen des mers s'est élevé à un rythme jamais vu au cours des 3 000 dernières années. Au contraire, l'extension de la glace arctique est au plus bas depuis un millénaire, un phénomène considéré comme irréversible pour des centaines ou des milliers d'années. Ce ne sont là que quelques-unes des données que les experts de l'ONU mettent sur la table en vue de la réunion cruciale de la COP 26, qui se tiendra en novembre en Écosse.

Ces dernières années, l'augmentation des émissions anthropiques associées aux principaux gaz à effet de serre a porté la température moyenne de la planète, au cours de la décennie 2011-2020, à 1,09 degré Celsius de plus que pendant la période 1850-1900. «Tous les principaux indicateurs des composantes du système climatique changent à un rythme jamais observé depuis des siècles», écrivent les auteurs du rapport. Conséquence: le niveau des mers va inévitablement continuer à augmenter, entre 28 et 55 centimètres d'ici la fin du siècle par rapport à aujourd'hui. À très long terme, elle s'élèvera de deux à trois mètres au cours des 2 000 prochaines années si le réchauffement climatique se maintient à 1,5 degré comme le propose l'accord de Paris, mais pourrait dépasser 20 mètres avec une hausse de 5 degrés.

Des événements extrêmes sans précédent

Le scénario apocalyptique se poursuit: selon ces mêmes experts, la planète devrait vivre des événements climatiques de plus ne plus extrêmes. Il s’agirait de vagues de chaleur, sécheresses, déluges ou d'inondations d'une ampleur et d'une fréquence exceptionnelles, voire simultanées. En effet, le changement climatique a un impact direct sur le cycle de l'eau, ce qui signifie des changements dans les valeurs d'humidité, les vents, la neige et la glace, les zones côtières et les océans. En outre, le changement climatique affecte le régime des précipitations: en hautes latitudes, les précipitations devraient augmenter, alors qu'elles devraient diminuer dans la plupart des régions subtropicales. Des changements dans les précipitations de la mousson sont également attendus, avec des variations selon les régions.

Effet pandémique temporaire mais significatif

La pandémie a donné un signal positif, mais seulement temporaire, expliquent les scientifiques. En effet, elle a permis de réaliser une expérience qui aurait été impensable autrement: la réduction très rapide des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre grâce aux divers confinements. Mais alors que la réduction des émissions de polluants a entraîné une amélioration, certes temporaire, de la qualité de l'air dans le monde, la réduction de 7 % des émissions mondiales de CO2 -une réduction énorme jamais réalisée auparavant- n'a eu aucun effet sur la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et, par conséquent, aucun effet appréciable sur la température de la planète. Cela confirme, affirment les auteurs du rapport, que la lutte contre le réchauffement de la planète nécessite des réductions importantes et durables de la concentration de CO2 et d'autres gaz à effet de serre, pour aboutir à une dé-carbonisation complète.

Des décisions capitales à Glasgow

Tous les regards seront donc tournés vers la réunion de novembre en Écosse, où l'une des questions centrales sera la capacité du monde à limiter le réchauffement de la planète à +1,5 °C par rapport à l'ère pré-industrielle, l'objectif idéal de l'accord de Paris consistant à réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030 et à les ramener à zéro d'ici à 2050. C'est un «avertissement brutal» que «l'activité humaine endommage la planète à un rythme alarmant», a commenté le Premier ministre britannique Boris Johnson en exhortant les dirigeants mondiaux - en sa qualité de président de la conférence internationale sur le climat de la COP 26 à Glasgow - à mettre en œuvre un plan accéléré de réduction des émissions nocives. Le rapport publié aujourd'hui est une «lecture qui donne à réfléchir», a-t-il souligné, et «j'espère qu'il incitera le monde à agir». «Il est clair que la prochaine décennie sera décisive pour assurer l'avenir de notre planète», a-t-il prévenu, reconnaissant au Royaume-Uni le mérite d'avoir joué un «rôle de premier plan» en la matière en initiant un processus de «dé-carbonisation à un rythme plus rapide que tout autre pays du G20». Un avertissement similaire avait déjà été lancé par le ministre Alok Sharma, qui avait été nommé par le gouvernement britannique pour présider la COP 26.

 Vatican News

 

lunedì 9 agosto 2021

NOUVEAU RYTHME POUR LE MONDE

 Notre monde a besoin d’un nouveau rythme et de bienveillance, confie Mgr Duffé

Mgr Bruno-Marie Duffé a achevé son mandat en tant que secrétaire du dicastère pour le service du développement humain intégral, le 1er juillet dernier. Il invite à déployer un nouveau mode de relations et à relever le défi de l'espoir, dans un monde inquiet.

Entretien réalisé par Hélène Destombes - Cité du Vatican


Mgr Bruno-Marie Duffé, prêtre du diocèse de Lyon, avait été choisi par le Pape François en juin 2017 pour seconder le cardinal Peter Turkson à la tête du dicastère pour le service du développement humain intégral. Durant son mandat, il a ouvert une réflexion sur nos modes de développement et d’interaction.

Mgr Duffé a également effectué plusieurs voyages pour panser les plaies d’un monde en souffrance. Il a notamment été envoyé par le Pape François au Brésil, en 2019, à Brumadinho, après la rupture du barrage minier, ayant fait plus de 270 morts, se faisant proche des populations.

Dressant un premier bilan de sa mission au Vatican, il revient sur la réforme menée par le Pape François et exhorte à «revisiter notre mémoire collective et individuelle» afin de construire un nouveau modèle de relations, en harmonie avec la Création. 

Il évoque «le défi majeur de la coexistence et de l'hospitalité mutuelle» et met en garde contre la frénésie qui s’est emparée de nos vies, soulignant l’importance de «réapprendre la limite et le rythme», alors que «nous vivons un temps de l'épuisement».

Quels sont les dossiers les plus importants qui ont marqué votre mandat au sein du dicastère pour le service du développement humain intégral ?

Je pourrais commencer évidemment par le dossier de la santé, parce que nous sommes encore en train de vivre cette pandémie qui nous interroge de manière assez radicale sur la place importante de la santé dans la vie et les conséquences de notre mode de développement qui, sans doute, n'est pas pour rien dans les virus et dans le développement de certaines pathologies, de certaines maladies. Il y a évidemment en amont toute la réflexion autour de l'écologie, mais je ne peux plus séparer l'écologie des questions sociales et l’on peut dire que la mission qui nous a été confiée de la part du Saint-Père, est cette redécouverte de la création.

Et puis, il s'agit d'écouter aussi notre très grande difficulté à vivre ensemble et ce défi majeur qui est le défi de la coexistence, de la reconnaissance mutuelle, de l'hospitalité mutuelle. Il s'agit vraiment de se positionner dans cette mission et sur une ligne de crête entre les dérèglements et la violence d'un côté, le dialogue, la reconnaissance et l'encouragement mutuel de l'autre.

Alors qu'une profonde réflexion est actuellement menée sur la période post pandémie, le Dicastère pour le Service du Développement humain intégral est-il un acteur clé pour ouvrir d'autres horizons?

Je crois que l'on peut le dire dans la mesure où le désir du Saint-Père a été de créer une commission Vatican Covid-19. Nous sommes dans une révolution absolument fondamentale de l'économie. Le même mot est d’ailleurs à la racine d’écologie et d’économie. Il faudrait y ajouter aussi que l'on a besoin du dialogue œcuménique. C'est la même racine aussi.

 

Vatican News

domenica 8 agosto 2021

ONU - PUEBLOS INDIGENAS

 


9 de agosto, Día Internacional de los Pueblos Indígenas

La Asamblea General de las Naciones Unidas declaró que el Día Internacional de los Pueblos Indígenas del Mundo se celebrara el 9 de agosto de cada año.

Los pueblos indígenas son poseedores de una gran diversidad de culturas, tradiciones, idiomas y sistemas de conocimiento únicos. Tienen una relación especial con sus tierras y diversos conceptos de desarrollo basados en sus propias cosmovisiones y prioridades.

Bajo el mandato de la UNESCO, varios programas tratan temas de migración y movilidad que son relevantes para los pueblos indígenas. En estos temas, la UNESCO centra sus actividades en temas relacionados con la inclusión y la diversidad para combatir todas las formas de discriminación.

 

Tema de este año: No dejar a nadie atrás. Pueblos indígenas y la llamada a un nuevo contrato social

El nuevo contrato social debe basarse en una auténtica participación y asociación que fomente la igualdad de oportunidades y respete los derechos, la dignidad y las libertades de todos. Y ello pasa por el derecho de los pueblos indígenas a participar en la adopción de decisiones, un componente clave para lograr la reconciliación entre los pueblos originarios y los Estados.

Es por ello que este 9 de agosto, Día Internacional de los Pueblos Indígenas, debemos reivindicar su inclusión, participación y aprobación en la constitución de un sistema con beneficios sociales y económicos para todos y todas.

 

"El 9 de agosto de cada año, el Día Internacional de los Pueblos Indígenas es una oportunidad para celebrar estas comunidades y sus conocimientos. El tema de este año gira en torno a la elaboración de un nuevo contrato social con los pueblos indígenas, que esté fundado en los derechos humanos y el respeto a la diversidad cultural, y que no deje a nadie atrás"

Mensaje de la Directora General de la UNESCO, Audrey Azoulay, con motivo de este día:
Descargue el mensaje completo en pdf

 

Entrevista

 

 

Voces docentes: “Sueño una educación que reconozca las necesidades educativas de los pueblos originarios”
Los pueblos indígenas son herederos de una gran diversidad lingüística y cultural, así como de costumbres y tradiciones ancestrales. Conocimos la experiencia de la docente mapuche Anahí Arlette Huencho Ramos y sus proyectos de etnomatemática.
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Ciclo de conversatorios en Chile

 

Pueblos indígenas, interculturalidad y nueva Constitución en Chile
La Oficina Regional para la Educación en América Latina y el Caribe (OREALC/UNESCO Santiago) organizó un ciclo de conversatorios que reunió a representantes de la academia, organizaciones indígenas y público interesado. Abordamos temas relevantes para la discusión constitucional en Chile.
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venerdì 6 agosto 2021

UN PACTE MONDIAL SUR LA FAMILLE

 

Vers un "Pacte Catholique Mondial sur la Famille"

L'Année de la Famille - Amoris Laetitia sera l'occasion d'élaborer un document mondial sur la valeur de la famille, à la lumière de la Doctrine sociale de l'Église.
À l'occasion de l’Année de la Famille - Amoris Laetitia voulue par le Pape François, le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie (DLFV) et l'Académie Pontificale des Sciences Sociales (PASS), avec la collaboration du CISF (Centre International d’Études sur la Famille), ont lancé ces dernières semaines une enquête pour construire un Pacte Catholique Mondial sur la Famille, c'est-à-dire un programme commun d'actions pour promouvoir la famille dans le monde à la lumière de la Doctrine sociale de l'Église. 
Le Pacte impliquera les Centres d'études et de recherches sur la famille présents dans les Universités catholiques des cinq continents, à travers la collecte d'informations et de recherches effectuées sur l'importance culturelle et anthropologique de la famille, avec un regard particulier sur les relations familiales, la valeur sociale de la famille et les bonnes pratiques de politique familiale au niveau international. Le Pacte Catholique Mondial sur la Famille sera présenté dans le cadre d'un événement de clôture, avant la Rencontre Mondiale des Familles en juin 2022.

(Communiqué du Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie)

giovedì 5 agosto 2021

LAITYFAMILYLIFE - Bulletin

 


LAITYFAMILYLIFE

A trimestral bulletin
from the Dicastery for Laity, Family and Life
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N. 2/2021

Dear friends!

With this second issue of the Laityfamilylife Newsletter, our Dicastery is glad to share with you all the resources and pastoral materials produced over the last two months. Among these, you will find documents available of the International Forum "Where are we with Amoris Laetitia?" and resources of the First World Day for Grandparents and the Elderly.

Together with the Diocese of Rome, we would also like to present the official Image, Logo and Prayer for the upcoming World Meeting of Families scheduled for June 2022

On this occasion, the Dicastery reminds all diocesan groups, parishes, family movements and associations throughout the world that participation in Rome will be limited to National Episcopal Conference delegations and to delegates of international family movements, due to pandemic restrictions.
These delegations will consist of a limited number of people, which will be communicated to the Bishops' Conferences and Movements. Everyone, however, is invited by Pope Francis to take up this occasion and have an active part in the diocesan meetings which, simultaneously and at a local level, will be organised for families, pastoral agents and communities.
 

NEWS
1st World Day of Grandparents and the Elderly, 25 July 2021
For many of the 2,000 Elderly people present in St. Peter's last Sunday, celebrating the first World Day of Grandparents and the Elderly was the first opportunity to leave the forced isolation they have been living in since March 2020 due to pandemic.
Pope Francis greeted all participants at the Angelus.                             
READ MORE and DOWNLOAD RESOURCES
A Decree to Regulate Terms of Office. For healthy government in the international associations of the faithful
The goal of the Decree is to promote a healthy renewal within government, so that authority be exercised as an authentic service of ecclesial communion, avoiding personalisation and misappropriation. READ ALL 
WYD in the Particular Churches: published the Pastoral Guidelines
The Guidelines approved by the Holy Father are an encouragement for the whole Church to give a new impetus to the Youth Day celebrated in the local realities. READ MORE and DOWNLOAD THE GUIDES

Women: Education, the most profitable investment
The intervention of Undersecretary, Dr. Linda Ghisoni, at the webinar “Food for Life: the role of women in promoting integral human development”,organized by the Secretariat of State, the Holy See's Permanent Mission to FAO, IFAD and WFP, the Dicastery for the Service of Integral Human Development and the COVID-19 Vatican Commission. 
READ MORE AND WATCH THE VIDEO
Rosario Livatino: a model of the professional commitment of the laity in public life
The 37 year old judge killed in 1990 by the mafia was  beatified in Agrigento, on May 9th 2021.
Regarding the beatification of judge Livatino, Dr. Linda Ghisoni, Undersecretary, explains that “In Rosario Livatino we have a model who can inspire us to the professional commitment of the laity in public life”. READ MORE

mercoledì 4 agosto 2021

UNESCO - SURVEY ON COVID-19 AND EDUCATION - en-fr-es


 


Survey on COVID-19 and Tertiary Education

UNESCO recently conducted a global survey on COVID-19 and higher education systems. The survey was addressed to 193 Member States and 11 Associate Members. Sixty-five countries submitted responses, fifty-seven of which were used for the analysis. As per the landing page for the report, key findings are as follows:

  • Mode of teaching and learning: The major impact of COVID-19 on teaching and learning is the increase in online education. The hybrid mode of teaching has become the most popular form.

  • Access: The impact of COVID-19 on enrollment varies by regional and income levels. High income and Europe and North American countries are better able to cope with the disruption due to government funding support and increase in domestic enrollment.

  • International mobility: Mobility took a major hit, affecting international students significantly, but virtual mobility could compensate or even replace physical mobility.

  • University staff: Despite the closure of many universities, the impact of COVID-19 on university staff compared to the previous academic year is limited.

  • Disruption of research and extension activities: COVID-19 caused suspension and cancellation of teaching and research activities globally.

  • Widening inequality: The mixed impact of the pandemic on university finance shed a light on the exacerbation of inequality in higher education. Financial support from the government and external sources are crucial to the survival of HEIs.

  • University operations: The strong impact of the pandemic on HEIs operations caused reduced maintenance and services on campus and campuses closures worldwide.

  • National challenges: Health and adaptation to new modes and models of teaching are the top concerns for students and institutions.

  • Transition from higher education to work: The significant reduction of job opportunities makes the transition from higher education to the labor market more difficult. Employers are also seeking applicants with higher technology skills.

  • National priority: Strategic options for country-specific response are to improve infrastructure and availability of digital devices for online or distance learning as well as support for teachers and more international collaboration in research and policy dialogues.

Enquête de l'UNESCO sur la COVID-19 et l'enseignement supérieur


L'UNESCO a récemment mené une enquête mondiale sur la COVID-19 et les systèmes d'enseignement supérieur. L'enquête a été adressée à 193 États membres et 11 membres associés. Soixante-cinq pays ont soumis des réponses, dont cinquante-sept ont été utilisées pour l'analyse. Selon la page de destination du rapport, les principales conclusions sont les suivantes :

  • Modalités d’enseignement et d’apprentissage : le principal impact de la COVID-19 sur l’enseignement et l’apprentissage concerne un recours accru à l’enseignement en ligne, le mode d’enseignement hybride devenant la forme la plus répandue.

  • Accès : l’impact de la COVID-19 sur la scolarisation varie en fonction des régions et du niveau de revenu. Les pays à revenu élevé, notamment les pays d’Europe et d’Amérique du Nord, sont les mieux à même de faire face aux perturbations, grâce à des aides publiques et à l’accroissement des inscriptions au niveau national.

  • Mobilité internationale : la mobilité a été fortement réduite, avec un impact considérable sur les étudiants internationaux, mais la mobilité virtuelle a pu compenser, voire remplacer, la mobilité physique.

  • Personnel des universités : malgré la fermeture de nombreux établissements, l’impact de la COVID-19 sur le personnel des universités est limité par rapport à l’année universitaire précédente.

  • Perturbation des activités de recherche et périuniversitaires : la COVID-19 a entraîné la suspension ou l’annulation des activités d’enseignement et de recherche dans le monde.

  • Creusement des inégalités : l’impact varié de la pandémie sur le financement des universités a mis en lumière une exacerbation des inégalités dans l’enseignement supérieur. Le soutien financier des gouvernements et de sources extérieures est indispensable à la survie des établissements d’enseignement supérieur.

  • Fonctionnement des universités : les effets marqués de la pandémie sur le fonctionnement des établissements d’enseignement supérieur ont contraint ces derniers à réduire leurs dépenses d’entretien et les services sur les campus et causé la fermeture de campus dans le monde entier.

  • Défis nationaux : la santé et l’adaptation à de nouveaux modes et modèles d’enseignement arrivent en tête des préoccupations des étudiants et des établissements.

  • Passage de l’enseignement supérieur à la vie active : la forte contraction du marché de l’emploi rend plus difficile le passage de l’enseignement supérieur au monde du travail. Les employeurs sont également à la recherche de candidats ayant des compétences technologiques plus poussées.

  • Priorités nationales : les options stratégiques montrent une réponse adaptée de chaque pays, avec l’amélioration de l’infrastructure et la mise à disposition d’appareils numériques pour l’apprentissage en ligne ou à distance, ainsi que le soutien aux enseignants et une plus grande collaboration internationale en matière de recherche et de dialogues politiques.

Encuesta de la UNESCO sobre COVID-19 y educación superior


La UNESCO realizó recientemente una encuesta global sobre COVID-19 y los sistemas de educación superior. La encuesta se dirigió a 193 Estados Miembros y 11 Miembros Asociados. Sesenta y cinco países enviaron respuestas, cincuenta y siete de las cuales se utilizaron para el análisis. Según la página de destino del informe, los hallazgos clave son los siguientes:

  • Modalidades de enseñanza y aprendizaje: la principal repercusión de la COVID-19 en la enseñanza y el aprendizaje está vinculada al hecho de que se ha recurrido más a la enseñanza en línea y a la modalidad de enseñanza híbrida que se ha convertido en la forma más corriente.

  • Acceso: la repercusión de la COVID-19 en la escolarización varía en función de las regiones y del nivel de ingresos. Los países con altos índices de ingreso, fundamentalmente en Europa y América del Norte, son los que mejor hacen frente a las interrupciones, gracias a las ayudas públicas y al incremento de las matrículas a escala nacional.

  • Movilidad internacional: la movilidad quedó muy reducida, con una incidencia considerable en los estudiantes internacionales, pero la movilidad virtual pudo compensar, e incluso remplazar, a la movilidad física.

  • Personal académico: a pesar del cierre de numerosos establecimientos, la repercusión de la COVID-19 en el personal académico ha sido limitada con respecto al año lectivo universitario precedente.

  • Interrupción de las actividades de investigación y del ámbito universitario: la COVID-19 acarreó la suspensión o anulación de las actividades pedagógicas y de investigación en todo el mundo.

  • Incremento de las desigualdades: la repercusión variada de la pandemia en la financiación de las universidades demostró una exacerbación de las desigualdades en la educación superior. El apoyo financiero de los gobiernos y de las fuentes exteriores es indispensable para la supervivencia de los establecimientos de educación superior.

  • Funcionamiento de las universidades: los efectos de la pandemia en el funcionamiento de los centros de educación superior obligaron a que estos redujeran sus gastos de mantenimiento y los servicios en los recintos y provocó el cierre de los recintos en todo el mundo.

  • Desafíos a escala nacional: la salud y la adaptación a nuevos modos y modelos de enseñanza se sitúan entre las primeras preocupaciones de los estudiantes y los establecimientos.

  • Transición de la educación superior a la vida activa: la gran concentración del mercado laboral dificulta más el tránsito de la educación superior al mundo laboral. Los empleadores también buscan a los candidatos con mayores competencias tecnológicas.

  • Prioridades nacionales: las opciones estratégicas demuestran una respuesta adaptada de cada país, con la mejoría de la infraestructura y el suministro de dispositivos digitales para el aprendizaje en línea o a distancia, así como el apoyo a los docentes y una mayor colaboración internacional en materia de investigación y de diálogos relativos a las políticas.