domenica 30 settembre 2018

JOURNEE INTERNATIONALE DE LA NON VIOLENCE

UNION PANAFRICAINE
DE BATISSEURS DE PAIX
 Panafrican Union of Peace Builders

S/C CIPCRE, B.P. 1256 Bafoussam, Cameroun

Si tu veux la paix, aime ton frère et ta sœur ! 

Message de l’Union Panafricaine
 de Bâtisseur-e-s de Paix 
à l’occasion 
de la Journée Internationale 
de la Non-violence, le 2 octobre 2018

En proposant à l’humanité de méditer sur la non-violence le 2 octobre de chaque année, jour anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi, l’Assemblée Générale des Nations Unies a voulu sortir l’humanité de la « sagesse démente » qui prétend que « qui veut la paix prépare la guerre ». Car, en matière de paix comme en toutes choses, tout est dans la préparation. Quels lendemains préparons-nous à longueur de journée ? En effet, nous sommes toujours en train de concocter notre avenir, que nous le sachions ou non, par nos croyances, nos pensées, nos émotions, nos paroles, nos actions et nos réactions.

L’Union Panafricaine de Bâtisseur-e-s de Paix (UPABP) propose au monde de profiter de cette heureuse journée pour déconstruire la violence cachée dans cette « sagesse d’inversion » qui prétend que « l’homme est un loup pour l’homme » et que donc « si tu veux la paix, prépare la guerre » (Si vis pacem, parabellum) ! L’on sait que c’est cette croyance honteuse qui soutient la pensée militaro-politique qui gouverne le monde à présent.

Qu’est-ce que l’inversion ? C’est le résultat de la mise à l’envers de l’être humain par son propre ego. Car l’être humain est créé à l’endroit, la tête vers le ciel (domaine du divin), les frèressœurs autour de lui (domaine de l’humain) et les pieds fermes sur la terre (domaine du matériel). C’est la posture de verticalité, qui a comme corollaires la santé et la longévité, la fécondité et la bonne éducation des rejetons, la richesse et la convivialité.

Mais le fonctionnement ordinaire de son ego a toujours tôt fait de mettre l’être humain à l’envers, la tête vers la terre (matérialisme et amour du profit), les pieds vers le ciel (méconnaissance, voire haine du divin) et la guerre tous azimuts (violence mimétique entre frèressœurs ennemi-e-s).

Le point ici est de reconnaître que ce fonctionnement est tout à fait normal : l’ego, gardien de notre individualité, a deux forces qu’il utilise comme un virtuose : la force d’attractionattachement qui lui permet de nous attirer et nous garder ce qui nous donne vie, plaisir et joie et la force de répulsion-rejet qui lui permet de nous défendre contre ce qui pourrait nous nuire de quelque façon que ce soit. L’ego n’est donc pas mauvais ; il est seulement inconscient. Et c’est son inconscience qui nous engage dans une guerre permanente contre autrui.

L’ego n’est pas conscient de la loi fondamentale de notre dimension, à savoir que nous récoltons ce que nous semons : quand nous prenons à autrui, nous mettons en route une énergie magnétique qui finira par nous spolier nous aussi ; quand nous violentons autrui, nous mettons en route une énergie magnétique qui finira par nous agresser nous aussi.

 Nous avons donc intérêt à utiliser consciemment nos deux forces égoïques d’attractionrépulsion. Cette conscience consiste à remarquer que l’autre et moi, nous sommes fabriqués de la même façon et avons donc les mêmes droits. Alors au lieu de prendre à l’autre, nous lui donnons, mettant ainsi en route une énergie magnétique qui finira par nous gratifier nous aussi ; au lieu de chasser l’autre, nous le protégeons, mettant ainsi en route une énergie magnétique qui finira par nous protéger nous aussi.

Donner à autrui ce qui donne la vie, le protéger contre ce qui donne la mort, n’est-ce pas cela aimer ? Nous sommes ici au cœur de la non-violence car nous changeons la sagesse d’inversion (si vis pacem, para bellum – si tu veux la paix, prépare la guerre) en sagesse de verticalité (si vis pacem, ama fratrem – si tu veux la paix, aime ton frère et ta sœur).

Les Romains avaient deux noms pour leur armée, un nom pendant la paix : « exercitus » (le « bien entrainé », car c’est pendant la paix qu’il fallait s’entrainer à faire la guerre) et un nom pendant la guerre : « acies » (le « tranchant », car pendant la guerre il fallait trancher la vie de l’ennemi). L’UPABP propose de récupérer ces noms en les transmutant comme suit :

-        Exercitus : exerçons-nous chaque jour à aimer notre prochain pour accumuler la force de l’amour et exténuer en nous l’amour de la force ;

-        Acies : aux moments de la rivalité que nos egos ne manqueront pas de créer, déployons la force de l’amour accumulée pour « trancher nos conflits » en leur trouvant toujours comme conclusion heureuse une norme qui protège et promeut la paix.

 Contacts:  L’UPABP a son siège au Cercle International pour la Promotion de la Création (CIPCRE), BP 1256 Bafoussam, Cameroun. Vous pouvez aussi écrire au Président du Conseil d’Administration de l’UPABP ou aux deux autres Porte-parole :

-        PCA-UPABP, Pasteur Jean Blaise KENMOGNE, Jean-Blaise_Kenmogne@cipcre.org
-        Porte-Parole Hubert HEINDL, Volet « Avoir » heindl@apte-net.de
-        Porte-Parole Laurien NTEZIMANA, Volet « Etre » joyeudesansouci@gmail.com

Bafoussam, octobre 2018
Pour l’UPABP, le PCA
Rév. Dr. Jean-Blaise Kenmogne, PhD, Fondateur et Directeur Général du CIPCRE 


lunedì 17 settembre 2018

UNESCO - JOURNEE INTERNATIONALE DU SPORT UNIVERSITAIRE - INTERNATIONAL DAY OF UNIVERSITY SPORT20 septembre 2018

University sport is very highly regarded in the world of sport and education.
Fully integrated into the learning curriculum of the citizens of today and tomorrow, it represents a vital aspect of individuals’ development and fulfilment. The pedantic repetition of “Anima Sana in Corpore Sano / A Healthy Soul in a Healthy Body” is not enough to attain the ideal of harmony between body and soul. This maxim must be translated into specific public policies and practices in order to give it substance throughout people’s lives, starting at the youngest age.
University sport (...) a vital aspect of individuals’ development and fulfilment.
Irina Bokova
UNESCO Director-General
University sport is central to such measures: it nurtures a love for sport, gives it structure and allows champions to flourish, while passing on the values of an open mind, fair play, solidarity and excellence, which benefit society as a whole.
International Day of University Sport is an opportunity to underline the social role played by universities and their curricula, making sport available for everyone in order to foster the regular practice of a physical activity in the greatest number of people. It also allows UNESCO to reaffirm its committed support to personal and collective development through sport and education, for the spread of a genuine sports culture, which we believe inherent to a culture of peace. Those are the stated principles of the International Charter of Physical Education, Physical Activity and Sport and the International Convention against Doping in Sport.
In this spirit, UNESCO is proud to support the International University Sports Federation and work together towards upholding a high-quality sporting environment so that all societies dare to dream faster, higher and stronger.
Download the message in PDF format
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En 2015, la Fédération internationale des sports universitaires (FISU) a proposé à l’UNESCO de reconnaître internationalement une journée consacrée au sport universitaire. La proposition a été approuvée par les États membres de l’UNESCO lors de la 38e session de la Conférence générale à Paris, en novembre 2015, et le 20 septembre a été déclarée Journée internationale du sport universitaire. Cette date coïncide dans la plupart des pays du monde avec le début de l’année académique, et c’est aussi la date des premiers Championnats du Monde des étudiants qui a eu lieu en 1924.
En consacrant un jour par an aux universités et au sport pour les citoyens, la Fédération Internationale du Sport Universitaire (FISU), composée de 167 fédérations sportives universitaires nationales représentant plusieurs centaines d’établissements d’enseignement supérieur, vise à attirer l’attention sur le rôle clé que les universités peuvent et doivent jouer pour relever les défis du quotidien, en termes d’acquisition et de transmission des connaissances, mais aussi et surtout de la politique sociale et économique aux niveaux local, national et international.


venerdì 14 settembre 2018

CONGO R -EECO - BULLETIN N. 24


 

Feuillet de FORMATION et d’INFORMATION N°24  - Octobre 2018
Produit par les Equipes Enseignantes du Congo
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  BONNE ANNEE SCOLAIRE 2018-2019
Tout le comité de rédaction de notre bulletin a la joie de vous souhaiter une excellente année scolaire 2018-2019. Que cette nouvelle année scolaire soit une année de paix et de joie, pour vous et pour toute la communauté éducative.
Que cette année soit une année de reconnaissance de la réalité actuelle de l’éducation pour changer nos manières d’agir à partir de nos options et de la compréhension de la tâche éducative comme formation dans la relation ; une année de fortifier notre identité de disciples et de missionnaires ; une année de renforcer l’importance de notre méthode de petites communautés qui révisent leur pratique et leur vie.
Que cette année soit une année de transformer nos équipes de base en Groupe d’Entraînement à la paix, et ainsi montrer en concret que les Equipes Enseignantes sont porteuses de l’Union Panafricaine de Bâtisseurs de Paix(UPABP) au Congo. Ainsi aider nos enfants à s’entraîner à la paix à travers des programmes d’activités éducatives en faveur de la paix.
Et enfin, que cette année soit une période d’intérioriser sur les cinq(5) piliers d’un équipier pour bâtir une école de qualité :
·       Un équipier de prière : un enseignant qui fait de la prière un mode de vie et qui intercède pour toute la communauté éducative.
·       Un équipier d’intérieur : un enseignant qui prend soin de lui, de sa famille, de son église et de son école.
·       Un équipier d’entreprise : un enseignant de foi et de vision qui n’a pas peur d’entreprendre de grandes choses par, pour et avec Dieu.
·       Un équipier de parole : un enseignant sur lequel on peut compter et qui parle pour édifier.
·       Un équipier de compassion : un enseignant qui tend la main aux enfants défavorisés.
BONNE Année scolaire 2018-2019
Pelage UWIMANA
Secrétaire National des EEC
                      COMITE DE REDACTION
           Pelage UWIMANA, Louis Wilfrid GOUADAME,
           Emilien Gervais MAPAKOU, Sylvie MOUNDANGA



 

lunedì 10 settembre 2018

POPE FRANCIS. THE SEVEN PILLARS OF EDUCATION - I sette pilastri dell'educazione - LES PILIERS DE L'EDUCATION - El desafio de la educación - PROVOCAREA EDUCATIEI - De uitdaging van het onderwijs

 THE SEVEN PILLARS 
OF EDUCATION 
ACCORDING TO J. M. BERGOGLIO
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Per Francesco «educare è una delle arti più appassionanti dell’esistenza, e richiede incessantemente che si amplino gli orizzonti».
The challenge of education has always been of the greatest concern to the current pope. For him, «to educate is one of the most exciting arts of existence». This article presents the seven columns of his educational philosophy as it evolved during his episcopal ministry in Buenos Aires before his election to the papacy. In brief: education as a common issue that helps build a nation’s future; the need to welcome and integrate diversity as a resource; the farsightedness and the courage to face the new anthropological challenges, even those we struggle to understand; restlessness as a driving force of education; questioning and research as a method; awareness and acceptance of limits; the familiar and generative dimension of the educational relationship.

Dans la revue jésuite la Civiltà Cattolica de septembre 2018 – traditionnellement relue en Secrétairerie d’Etat – le directeur Antonio Spadaro signe un article sur les sept piliers de l’éducation selon le pape François. 
Vatican News en donne une synthèse ce 31 août, rappelant avec le p. Spadaro que « le défi éducatif est depuis toujours au centre de la vision » du pape argentin.
D’après lui, les sept piliers de Jorge Mario Bergoglio sont : 1) intégrer 2) accueillir et célébrer les diversités 3) affronter le changement anthropologique 4) l’inquiétude comme moteur éducatif 5) une pédagogie de la question 6) ne pas maltraiter les limites 7) vivre une fécondité entre les générations et familiale. Le directeur de la Civiltà Cattolica donne aussi trois “mots-clés” qui connotent l’éducation chez le pape François : “choix, exigence et passion”. Pour le pape en effet, « éduquer est l’un des arts les plus passionnants de l’existence et exige incessamment que s’élargissent les horizons ». En outre, « l’éducation n’est pas un fait exclusivement individuel, mais populaire » et elle est «un moyen d’intégration sociale».          
Dans l’éducation selon le pape François, l’un des points fondamentaux est «l’accueil de la diversité», car les différences sont des «ressources» et non «des problèmes», explique encore le p. Spadaro. Le pape encourage par ailleurs les éducateurs à être «audacieux» et «créatifs» car l’éducation est «un défi anthropologique».






sabato 8 settembre 2018

UNESCO -8 septembre - JOURNEE INTERNATIONALE DE L'ALPHABETISATION - INTERNATIONAL LITERACY DAY

A l’occasion de la Journée Internationale de l’Alphabétisation 2018, le Pape François fait parvenir son message à l’UNESCO par le Secrétaire d’État, son Eminence le Cardinal Pietro PAROLIN. Cette anné, le Saint-Père souligne l’importance de l’alphabétisation et du développement des compétences pour l’intégration social et le progrès de la société.
Encore une fois, les Amis du Saint-Siège auprès de l’UNESCO se rejouissent de partager avec vous le Message de Sa Sainteté adressé à l’UNESCO, pour la Journée Internationale de l’Alphabétisation 2018, célébrée chaque année le 8 septembre.
Lire le Message du Pape François en PDF :
PDF - 207 ko
Le Pape pour la Journée de l’Alphabétisation 2018
Pendant plus 50 ans, le Saint-Siège a soutenu la Journée de l’Alphabétisation sans discontinuer depuis le premier message envoyé par le Pape Paul VI pour le 8 septembre 1967.
L’ensemble des messages se trouve dans la rubrique dédiée à l’ l’Alphabétisation .
Voir aussi :
- Discours de Sa Saintété le Pape François aux participants au Colloque sur le cinquantenaire de l’Encyclique Populorum Progressio

Document(s)

venerdì 7 settembre 2018

THIS ECONOMIC SYSTEM HAS MADE AN IDOL OF MONEY


Pope: Interview with Italian business daily "Il Sole 24 Ore"

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In a wide-ranging interview with Italian national business newspaper, Il Sole 24 Ore, Pope Francis engages with a variety of issues, including: economics, the environment, migrants, Europe, and peace.

By Christopher Wells

The interview with Il Sole 24 Ore revolves largely around socio-economic issues, with a strong focus on the common good. Without denying the importance of individual effort, Pope Francis emphasizes that a community can only grow as a whole people; “social life,” he says, “is not constituted by the sum of individualities, but by the growth of a people.”

Real growth in the community. He says that real growth can occur in a community when we “make room to welcome everyone’s collaboration.” Real growth, he continues, is result “of relationships sustained by tenderness and mercy,” rather than an exclusive focus on success that can lead to “exclusions and waste.”
Pope Francis takes the opportunity to clarify what he means by waste: “It is not simply a phenomenon recognized as the action of exploitation and oppression, but a truly new phenomenon.” The action of exclusion doesn’t simply deprive people of power or wealth, but actually rejects them, throws them out, casts them out of society.”

A person-friendly ethics. This, he says, is why we need a “person-friendly ethics,” which he says can become a “strong stimulus for conversion.” This kind of “person-friendly ethics” can help bridge the gap between profit driven, and non-profit enterprises.
The Holy Father explains that behind every economic activity lies a human person, and insists that the human person must be at the centre of how we think of the economy. “It is work that gives dignity to man, not money.” He identifies a focus on money and profit as a consequence of an economic system “that is no longer capable of creating jobs.”

The human person at the centre.  This economic system, the Pope says, has made an idol of money; but it can be opposed by a system that puts people and family at the centre. He explains that an innovative focus on the greater good, the good of the community as a whole, is ultimately better for companies than an exclusive focus on profit.
In fact, a healthy overall economy, Pope Francis says, “is never disconnected from the meaning of what is produced; and economic activity is always also an ethical fact. He points to the teaching of Pope Leo XIII that free trade is not sufficient of itself to ensure justice; and says that what Leo said of individual contracts is also true of international trade. Quoting Bd Paul VI, Pope Francis says, “Free trade can be called just only when it conforms to the demands of social justice.”

Work and the dignity of the person. Asked about the feeling, experienced by many people, that work is a burden, “an unbearable routine,” Pope Francis says that everyone realizes that it is better to have a job than to not work. Working, he says, “is good because it is linked to the dignity of the person, to his ability to take responsibility for himself and others.” He also describes “the high spiritual meaning” of work, by which, he says, “we give continuity to creation by respecting it and taking care of it.”

Environment. Pope Francis also speaks on a number of other issues in his interview. He calls on Companies to pay more attention to “Working to build the common good”. Noting that most Companies provide professional and technical training, he suggests they do the same with regard to values. “We have reached the limits of what we call our common home”, he says, to the point that we are planning to colonize new planets. “Humanity is no longer the custodian of the earth but a tyrant exploiter.” That is why, whenever we talk about the environment, we are really talking about humanity: “Environmental degradation and human degradation go hand in hand,” says the Pope. “Ecological consciousness needs new ways of living that build a harmonious future, promote integral development, and reduce inequality.” Pope Francis cites his Encyclical Laudato sì, when he confirms that, in order to guarantee resources for future generations, we need to “limit the use of non-renewable resources, moderate consumption, reuse and to recycle.”

 Migrants. Pope Francis acknowledges the challenge posed by migrants, especially to those who living in affluent countries: “Yet there is no peaceful future for humanity except in the acceptance of diversity, solidarity, in thinking of humanity as one family.” he states. Hope is what unites those who leave their homes with those who welcome them. Hope is what drives us to “share the journey of life,” he says, encouraging us not to be afraid “to share hope.” We need to stop talking about numbers, and start talking about people.

Europe. “Europe needs hope and a future,” says Pope Francis. “We never stop being witnesses of hope, we widen our horizons without consuming ourselves in the preoccupation of the present.” Returning to the issue of migration, the Pope recalls the importance of migrants being “respectful of the culture and laws of their host country” so as to favor integration and overcome fear and worry. “I also entrust these responsibilities to the prudence of governments,” he says, “so that they may find common ways to give dignified welcome to our many brothers and sisters who call for help.”

Peace. The interview concludes with Pope Francis referencing his Message for the World Day of Peace this year in which he outlines what he calls “four milestones for action: welcome, protect, promote and integrate.” It is always important that our projects and proposals be inspired by “compassion, vision and courage,” he says, “so as to seize every opportunity to advance the construction of peace.” This is the only way to ensure that “the necessary realism of international politics does not surrender itself to disinterest and the globalization of indifference.”

 Le Pape au Sole 24 Ore: «Les vraies richesses viennent du travail qui crée de la dignité»

Papa Francesco: L'economia al servizio dello sviluppo integrale 

Papst: „Migranten sind eine große Herausforderung für alle“

 El dinero verdadero se hace con el trabajo que crea dignidad y más trabajo

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