venerdì 28 agosto 2020

UNICEF: UN TIERS DES ELEVES N'ONT PA EU ACCES A L'ENSEIGNEMENT A DISTANCE


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Au moins un tiers des élèves – soit 463 millions d’enfants dans le monde – n’ont pas eu accès à l’enseignement à distance lorsque leur école a fermé ses portes à cause de la pandémie de COVID-19, selon un nouveau rapport de l’UNICEF publié aujourd’hui alors que tous les pays s’efforcent de mettre au point un plan pour la rentrée.

« Pour au moins 463 millions d’enfants privés d’école à cause de la COVID-19, l’enseignement à distance n’a pas été possible », précise Henrietta Fore, Directrice générale de l’UNICEF. « Au vu du simple nombre d’enfants dont l’enseignement a été complètement perturbé pendant des mois, nous sommes face à une urgence éducative mondiale qui pourrait avoir des répercussions sur les économies et les sociétés pendant plusieurs décennies. »  

Au plus fort des mesures de confinement nationales et locales, environ 1,5 milliard d’élèves étaient privés d’école. Le rapport décrit les limites de l’enseignement à distance et souligne les inégalités importantes en matière d’accès.

Le document s’appuie sur une analyse représentative à l’échelle mondiale de la présence de technologies et d’outils nécessaires à l’enseignement à distance au sein des foyers pour les élèves du préscolaire, du primaire, du premier cycle du secondaire et du deuxième cycle du secondaire. Les données sont issues de 100 pays. Elles couvrent l’accès à la télévision, à la radio et à Internet, ainsi que l’existence ou non d’un programme enseigné par l’intermédiaire de ces plateformes lorsque les écoles étaient fermées.

Les chiffres retranscrits dans le rapport dressent un tableau inquiétant concernant l’absence d’enseignement à distance lorsque les écoles étaient fermées. Pourtant, l’UNICEF estime que la situation est probablement bien plus grave. En effet, même lorsque les enfants disposent de la technologie et des outils nécessaires chez eux, l’apprentissage à distance n’est pas toujours possible en raison d’autres facteurs : la pression pour effectuer les tâches domestiques, l’obligation de travailler, un environnement non favorable à l’apprentissage et l’absence d’aide pour suivre le programme mis à disposition sur les différentes plateformes.

Le rapport souligne les inégalités importantes entre les régions. Les élèves d’Afrique subsaharienne sont les plus touchés puisque la moitié d’entre eux n’a pas accès à l’enseignement à distance.

  

Région 

Proportion minimale d’élèves n’ayant pas accès à l’enseignement à distance (%) 

Nombre minimal d’élèves n’ayant pas accès à l’enseignement à distance 

Afrique de l’Est et australe 

49 % 

67 millions 

Afrique de l’Ouest et centrale 

48 % 

54 millions 

Asie de l’Est et Pacifique 

20 % 

80 millions 

Moyen-Orient et Afrique du Nord 

40 % 

37 millions 

Asie du Sud 

38 % 

147 millions 

Europe de l’Est et Asie centrale 

34 % 

25 millions 

Amérique latine et Caraïbes 

9 % 

13 millions 

Monde entier 

31 % 

463 millions 

 

Les élèves issus des foyers les plus pauvres et ceux qui vivent en zone rurale sont de loin les plus susceptibles d'être lésés par les fermetures d’écoles, précise le rapport. Dans le monde, 72 % des élèves n’ayant pas accès à l’enseignement à distance appartiennent aux foyers les plus pauvres de leur pays. Dans les pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure, les élèves des foyers les plus pauvres représentent jusqu’à 86 % des élèves n’ayant pas accès à l’enseignement à distance. À l’échelle mondiale, les trois quarts des élèves privés de cet accès vivent en zone rurale.  

De plus, selon le rapport, le taux d’élèves ayant accès à l’enseignement à distance varie en fonction des groupes d’âge. Les plus jeunes ont plus de risque d’être privés de cet enseignement pendant les années les plus importantes pour leur apprentissage et leur développement : 

·         Environ 70 % des élèves d’âge préscolaire – soit 120 millions d’enfants – n’ont pas accès à un tel enseignement, en grande partie à cause des difficultés et des limites de l’apprentissage en ligne pour les jeunes enfants, de l’absence de programmes d’enseignement à distance pour cette catégorie d’âge et du faible nombre d’outils disponibles au sein du foyer pour ce type d’enseignement.   

·         Au moins 29 % des élèves du primaire – soit 217 millions d’élèves – n’ont pas accès à l’enseignement à distance. Au moins 24 % des élèves du premier cycle du secondaire – soit 78 millions d’élèves – n’y ont pas accès non plus. 

·         Les élèves du deuxième cycle du secondaire étaient les moins concernés par l’absence d’accès à l’enseignement à distance. Au moins 18 % d’entre eux – soit 48 millions d’élèves – ne disposaient pas des moyens technologiques nécessaires.  

L’UNICEF encourage les pouvoirs publics à faire de la réouverture sûre des écoles une priorité lorsqu’ils assouplissent les mesures de confinement. Lorsque la réouverture n’est pas possible, l’UNICEF appelle les pouvoirs publics à intégrer des apprentissages destinés à compenser les heures d’enseignement perdues dans les plans de continuité scolaire et de réouverture des écoles. Les politiques et les pratiques d’ouverture des écoles doivent s’efforcer d’élargir l’accès à l’éducation, notamment à l’enseignement à distance, en particulier pour les groupes marginalisés. Les systèmes éducatifs doivent également être adaptés et conçus pour faire face à de futures crises.

Le Cadre pour la réouverture des écoles de l’UNICEF, publié en collaboration avec l’UNESCO, le HCR, le PAM et la Banque mondiale, fournit des conseils pratiques aux autorités nationales et locales. Ces orientations mettent l’accent sur les réformes politiques, les exigences de financement, le fonctionnement sûr, l’apprentissage compensant les heures perdues, le bien-être et la protection ainsi que l’inclusion des enfants les plus marginalisés.

Dans le cadre de sa campagne Réinventer, dont l’objectif est d’éviter que la pandémie de COVID-19 n’aggrave une crise durable pour les enfants, notamment les plus pauvres et les plus vulnérables, l’UNICEF appelle à investir d’urgence pour réduire la fracture numérique, permettre à chaque enfant d’accéder à l’enseignement à distance, et, surtout, faire de la réouverture sûre des écoles une priorité. 

UNICEF



 

giovedì 27 agosto 2020

SEASON OF CREATION 2020 - From 1 September to 4 October


 Jubilee

 for the 

Earth

Joint statement issued by Cardinal Angelo Bagnasco, President of CCEE, and Rev. Christian Krieger, President of CEC

 

From 1 September to 4 October, Christians all over the world celebrate the Season of Creation, as well as the Day of Creation on 1 September. Following the tradition from previous years, in CEC and CCEE, we have taken advantage of this occasion and have encouraged our Member Churches in Europe to acknowledge these days to celebrate the richness of our faith as an expression to protect our common home.

The values of Season of Creation go back to the roots of the Christian faith. Creation is a gift of God for mankind and for all living beings. It is therefore our responsibility to protect it as good and reliable stewards, and as faithful servants of God. “The earth is the Lord’s and all that is in it, the world, and those who live in it,” (Psalm 24:1).

Pope Francis in the encyclical Laudato Si’ underlined that “the urgent challenge to protect our common home includes a concern to bring the whole human family together to seek a sustainable and integral development.” At the same time, he strongly appealed “for a new dialogue about how we are shaping the future of our planet. We need a conversation which includes everyone, since the environmental challenge we are undergoing, and its human roots, concern and affect us all.

Similarly, one of the significant theologians of our era Jurgen Moltmann has made it clear that “today the theological adversary is the nihilism practised in our dealings with nature” and called for “a discernment of the God, who is present in creation through his Holy Spirit,” a discernment that “can bring men and women to reconciliation and peace with nature.”

Celebrating the Day of Creation and the Season of Creation has a significant ecumenical dimension. While celebrating these days, we look back and give thanks for the proposal of the late Ecumenical Patriarch Dimitrios I in 1989. Since that time, the idea of the Season of Creation and its ecumenical spirit has been further confirmed by the European Ecumenical Assemblies organised jointly by CEC and CCEE in Basel 1989, Graz 1997 and Sibiu 2007.

This year, the COVID-19 pandemic revealed how deeply the globe is interconnected. We realised more than ever that we are not isolated from each other and that conditions related to human health and well-being are fragile. Impact of the pandemic forces us to take seriously the need for vigilance and the need for conditions of sustainable life throughout the earth. This is even more important when considering the environmental devastation and the threat of climate change.

We invite you to celebrate the Season of Creation this year under the heading of Jubilee for the Earth. The concept of Jubilee is rooted in the Bible and underlines that there must exist a just and sustainable balance between social, economic and ecological realities. The lesson from the biblical concept of jubilee points us towards the need to restore balance in the very systems of life, affirming the need for equality, justice and sustainability and confirming the need for a prophetic voice in defence of our common home.

We invite all of the shepherds and European Christians, the parishes, church communities and every person of good will to pay attention to the Season of Creation and to live it with an ecumenical spirit, united in prayer and action.

 

H. Em. Card. Angelo Bagnasco

President of CCEE 

Rev. Christian Krieger

President of CEC

 

martedì 25 agosto 2020

CEPAL-UNESCO - LA EDUCACION EN TIEMPOS DE LA PANDEMIA

 

ES - EN

Ambos organismos de las Naciones Unidas lanzan informe que visibiliza las consecuencias y medidas tomadas por los sistemas educativos de la región ante la crisis de COVID-19, y plantea recomendaciones para sobrellevar el impacto, proyectando oportunidades para el aprendizaje y la innovación.

El nuevo Informe CEPAL-UNESCO La educación en tiempos de la pandemia de COVID-19 alerta a la comunidad internacional acerca del incremento de brechas existentes producto de la pandemia, tanto en términos de acceso como de equidad y calidad, situación que afectará especialmente a los más vulnerables.

La interrupción del ciclo escolar ha significado una oportunidad en materia de adaptación e innovación de los sistemas de enseñanza, lo que puede significar enormes avances, pero que también puede implicar una acentuación de las brechas educativas preexistentes en la región entre estudiantes de situación más vulnerable y aquellos más aventajados en cuanto a resultados de aprendizaje y otros indicadores educativos, como la progresión y la permanencia en la escuela, plantea el documento.

El informe preparado por la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) y la Oficina Regional de Educación para América Latina y el Caribe (OREALC/UNESCO Santiago) resalta que la contracción de la actividad económica  que se proyecta para la región llama a poner urgente atención en la necesidad de salvaguardar el financiamiento como una prioridad fundamental para proteger a los sistemas educativos nacionales de la exacerbación de las desigualdades en el acceso a la educación y la crisis de aprendizaje.

Este horizonte se hace aún más apremiante porque, de acuerdo con cifras disponibles de la UNESCO respecto a 25 países de la región, de no ser por la pandemia el gasto educativo habría aumentado un 3,6% de 2019 a 2020. Dada la contracción económica, la cantidad de recursos disponibles para la educación podría disminuir más del 9% tan solo en 2020 con consecuencias reales en el presupuesto que podrían observarse recién en 2021.

El documento subraya la urgencia de calcular los costos de los sistemas educativos nacionales y priorizar el gasto, así como garantizar la protección de la educación como un derecho humano fundamental y aprovechar el potencial transformador de la educación, no solo para construir sistemas resilientes sino también para contribuir a la recuperación social. El estudio llama a atender especialmente el riesgo de abandono escolar de los grupos más vulnerables a los efectos de la pandemia y la consecuente crisis sanitaria, social y económica.

 


 

lunedì 24 agosto 2020

D - VKDL - INFO 6 / 2020

 Liebe Kolleginnen! Wir leben in einer herausfordernden Zeit, für die es keine „  Blaupause“ gibt, und die uns auf unsere beschränkte menschliche Handlungsfreiheit zurückwirft.   Die zu Beginn der Corona-Pandemie spürbare Solidarität schwächt sich ab, je  unbequemer sie für den Einzelnen wird. Verunsicherung, 

Angst und Neid-Debatten vergiften die gesellschaftliche Stimmung. Bildung und Sozialleben werden sich ändern — ein Zurück zum „Normalzustand vor Corona“ gibt es nicht. Vergessen wir nicht: als Pädagoginnen sind wir Vorbilder für junge Menschen, die mehr denn je Orientierung und persönliche Bindung für erfolgreiches Lernen brauchen. Wissen und Gottvertrauen schaffen die Basis für eine humane Zukunft! ....

Chers collègues! Nous vivons une époque difficile pour laquelle il n'y en a pas «Blueprint» là-bas, et qui nous limite à notre liberté d'action humaine limitée rejette. La solidarité qui peut être ressentie au début de la pandémie corona s'affaiblit, à jamais cela devient plus inconfortable pour l'individu. Les débats sur l'insécurité, la peur et l'envie empoisonnent l'humeur sociale. L'éducation et la vie sociale vont changer - un retour en arrière il n'y a pas de "l'état normal avant Corona".  N'oublions pas: comme le sont les éducateurs nous sommes des modèles pour les jeunes qui, plus que jamais, apportent orientation et liens personnels besoin d'un apprentissage réussi. La connaissance et la confiance en Dieu créent la base d'un avenir humain! ….

  Dear colleagues! We live in challenging times for which there are none “Blueprint” there, and which limits us to our limited human freedom of action throws back. The solidarity that can be felt at the beginning of the corona pandemic is weakening, ever it becomes more uncomfortable for the individual. Insecurity, fear and envy debates poison the social mood.  Education and social life will change - a turning back there is no such thing as the “normal state before Corona”. Let's not forget: as educators are we are role models for young people who, more than ever, provide orientation and personal ties need successful learning. Knowledge and trust in God create the basis for one humane future! …

 ¡Queridos colegas! Vivimos en tiempos desafiantes para los que no hay ninguno "Plano" allí, y que nos limita a nuestra limitada libertad de acción humana tira hacia atrás. La solidaridad que se puede sentir al comienzo de la pandemia de la corona se está debilitando, siempre se vuelve más incómodo para el individuo. Inseguridad, miedo y envidia debates veneno el estado de ánimo social. La educación y la vida social cambiarán: un retroceso no existe el "estado normal antes de Corona". No olvidemos: como son los educadores somos modelos a seguir para los jóvenes que, más que nunca, brindamos orientación y vínculos personales necesita un aprendizaje exitoso. El conocimiento y la confianza en Dios crean la base para una futuro humano! ….


WkdL - info



RD CONGO - ECOPO - ECOLE SUPERIEURE DE LA GOVERNANCE ECONOMIQUE ET POLITIQUE

 Une Brève Présentation de l’ECOPO

Trouvez Ici une brève présentation de l’Ecopo

giovedì 20 agosto 2020

UNESCO. EVALUACION Y CONTINUIDAD EDUCATIVA EN MOMENTOS DIFFICILES

Evaluación y continuidad educativa en momentos difíciles: Encuesta de la UNESCO revela principales desafíos en América Latina en el marco de la pandemia

 La COVID-19 ha traído consecuencias imprevistas para los sistemas educativos de la región. El Laboratorio Latinoamericano de Evaluación de la Calidad de la Educación (LLECE) de la UNESCO, ha indagado mediante encuestas sobre cómo ha sido la respuesta educativa en la emergencia, para ayudar a proveer de orientaciones.

Durante julio de 2020 fueron consultados 17 países de la región, los cuales opinaron sobre los principales obstáculos que enfrentan, tales como la interrupción de clases presenciales, la falta de infraestructura y cómo evaluar a los estudiantes en estos momentos complejos.

 Observar el desempeño de los estudiantes durante el año, evaluaciones flexibles, o una combinación entre ambas parecen ser algunas de las alternativas posibles para enfrentar una de las principales preocupaciones educativas que tienen actualmente los países de América Latina y el Caribe: ¿Qué hacemos con la promoción de curso al final de los periodos lectivos?

Este problema, junto a los diagnósticos de los aprendizajes, las consecuencias de la pandemia al interior de los sistemas educativos, los problemas de infraestructura para enfrentar un retorno seguro a la escuela y cómo los países empiezan a abordar las secuelas de la pandemia en la población más vulnerable son abordados en el documento Sistemas educativos de América Latina en respuesta a la Covid-19: Continuidad educativa y evaluación. Análisis desde la evidencia del Laboratorio Latinoamericano de Evaluación de la Calidad de la Educación (LLECE): documento de programa.

El documento es un esfuerzo de análisis de evidencia realizado por el Laboratorio LLECE de la Oficina Regional de Educación para América Latina y el Caribe (OREALC/UNESCO Santiago), que llevó adelante una recopilación de información nacional a través de encuestas. En este instrumento participaron: Argentina, Bolivia, Brasil, Chile, Colombia, Costa Rica, Cuba, Ecuador, El Salvador, Honduras, México, Nicaragua, Panamá, Paraguay, Perú, República Dominicana y Uruguay.

El documento encontró que existe poca claridad respecto a decisiones que tomarán los países en evaluación, dado el contexto de incertidumbre. El tema más apremiante pareciera ser la promoción de curso de los estudiantes, lo que no se refleja aún en propuestas concretas respecto a los criterios. Sin embargo, estos tenderían a basarse en el desempeño de los estudiantes durante el año y en evaluaciones flexibles, o alguna combinación entre ambas.

El texto de la UNESCO muestra que están surgiendo desafíos con diferentes horizontes temporales. A corto plazo, los países deberán trabajar en posibles planes de retorno seguro, a la vez que perfeccionan metodologías y estrategias para la educación a distancia o modalidades híbridas.

A mediano plazo, la UNESCO indica que deberán buscarse mecanismos para diagnosticar adecuadamente las consecuencias de la pandemia, y diseñar estrategias para paliar estos efectos lo más rápido posible, con foco en los estudiantes marginados. A largo plazo, los países encuestados afirman que la crisis actual los conmina a repensar los modelos de educación, a mantener el avance hacia currículos relevantes y atingentes para los ciudadanos del siglo XXI, y a tener sistemas educativos inclusivos y flexibles que den a cada estudiante la posibilidad de desarrollarse según sus fortalezas e intereses.

Al momento de la encuesta, el principal problema seguía siendo la interrupción de clases presenciales: 15 de los 17 países participantes mantenían sus establecimientos educativos cerrados, la mayoría sin claridad respecto a la fecha de retorno. Ante este panorama, los países habían implementado estrategias diversas para asegurar la continuidad de los aprendizajes: disponer material y contenidos en la web, uso de medios masivos de comunicación para transmitir contenido, la utilización de plataformas digitales de aprendizaje y el envío de material pedagógico a los hogares son las más medidas más frecuentes.

A través de esta pesquisa también se consultó a los países respecto a cuáles son los mayores obstáculos que perciben para el éxito de las medidas implementadas. Los países indicaron que perciben la falta de infraestructura adecuada como uno de los principales problemas para la efectividad de las medidas. Le siguen la dificultad para apoyar a zonas remotas, la falta de preparación de estudiantes, familias y docentes para funcionar en la modalidad de educación a distancia y la falta de calidad del material disponible. Son notorias en las problemáticas regionales la brecha digital y la poca adaptabilidad de los currículos para afrontar estas inequidades.

Con respecto a evaluación, la mayoría de los países tenían al menos una evaluación planeada a nivel nacional, ya fuese propia o internacional, y han tomado decisiones variables según el carácter de cada evaluación. En el caso de las evaluaciones de alto impacto, todos los países han adaptado la programación que tenían, ya sea en términos de fecha o formato, con el fin de limitar lo más posible las consecuencias negativas injustas que la contingencia sanitaria signifique para los evaluados. En cuanto a evaluaciones nacionales de bajo impacto y evaluaciones internacionales ha sido más frecuente limitarse a postergar la fecha o simplemente cancelar su aplicación. En algunos casos esto está asociado a que, dado lo inusual de las condiciones en que transcurrió el año escolar, el diagnóstico que entregarían las evaluaciones de gran escala podría no ser representativo.

También se consultó a las contrapartes ministeriales en los países, respecto a sus iniciativas de evaluación formativa, la cual se centra en entregar resultados individualizados para apoyar la labor docente. Son muy pocos los países que cuentan con iniciativas en este tema a nivel gubernamental o que están trabajando en ellas. Donde las hay, aunque en algunos casos los proyectos forman parte de estrategias educativas más amplias, con frecuencia responden a la necesidad generada por la pandemia de establecer un diagnóstico para el retorno a clases presenciales. 

Respecto a orientaciones para la evaluación a distancia que hacen los docentes, se ve una alta proporción de países favoreciendo estrategias flexibles de valoración, tales como aprendizaje basado en proyectos, portafolios o trabajos escolares, por sobre los tradicionales exámenes.

 Carlos Henriquez, coordinador general del Laboratorio Latinoamericano de Evaluación de la Calidad de la Educación (LLECE) de la UNESCO, indicó que estos resultados “son unos insumos muy relevantes para los próximos meses ante los planes de retorno a clases que comienzan a dibujarse de forma gradual, flexible y voluntaria. Estos deben tener como pilar central la seguridad sanitaria y su implementación debería involucrar el diálogo entre todos los actores de las comunidades educativas para la construcción de confianza y una cultura de seguridad en comunidad”.

A su vez, Henríquez puntualizó que estos datos, como otros que irán emanando periódicamente, son un aporte de la Oficina Regional de Educación para América Latina y el Caribe (OREALC/UNESCO Santiago) para monitorear acciones que aportan al trabajo de los aprendizajes de los estudiantes, pues los efectos de la pandemia han sido disímiles y su evolución requiere de respuestas rápidas, innovadoras, con apoyos importantes y adecuadas a las necesidades de cada país y comunidad. “Ante todo, resulta fundamental que la toma de decisiones ponga en el centro a los estudiantes, sus necesidades, problemáticas e intereses, centrándose en su bienestar y en sus aprendizajes, generando mecanismos de acuerdo a cada contexto para asegurar que nadie se quede atrás en su desarrollo integral”, indicó.

  Descargue el reporte : Sistemas educativos de América Latina en respuesta a la Covid-19: Continuidad educativa y evaluación. Análisis desde la evidencia del Laboratorio Latinoamericano de Evaluación de la Calidad de la Educación (LLECE): documento de programa

Descargue también: Primer documento de esta serie: Aportes para una respuesta educativa frente a la COVID-19 en América Latina

Resumen del contexto regional y estado de aprendizajes, luego una panorámica de la respuesta educativa al Covid-19 en la región, los impactos de la pandemia, el rol docente, las brechas, la continuidad de los aprendizajes, el impacto curricular y las evaluaciones.

Contacto de prensa en la OREALC/UNESCO Santiago:

Carolina Jerez, c.jerez@unesco.org, +56992890175



 

 

 

 

 

 

giovedì 13 agosto 2020

15 august: MON AME EXALTE - MY SOUL MAGNIFIES - ENGRADECE MI ALMA

AR  - DE  - EN  - ES  -

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Dans l’Evangile de la solennité de l’Assomption de la Très Sainte Vierge Marie, la Vierge Sainte prie en disant: «Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur» (Lc 1, 46-47). Considérons les verbes de cette prière: exalte et exulte. Deux verbes: «exalte» et «exulte». On exulte quand il se passe quelque chose de si beau qu’il ne suffit pas de se réjouir intérieurement, dans l’âme, mais l’on veut exprimer son bonheur avec tout son corps: alors on exulte. Marie exulte en raison de Dieu. Qui sait si à nous aussi il est arrivé d’exulter pour le Seigneur: nous exultons pour un résultat obtenu, pour une belle nouvelle, mais aujourd’hui Marie nous apprend à exulter en Dieu. Pourquoi? Parce que lui — Dieu — fait «des merveilles» (cf. v. 49).

Les merveilles sont rappelées par l’autre verbe: exalter. «Mon âme exalte». Exalter. En effet, exalter signifie magnifier une réalité pour sa grandeur, pour sa beauté... Marie exalte la grandeur du Seigneur, elle le loue en disant qu’il est véritablement grand. Dans la vie, il est important de chercher de grandes choses, sinon on se perd derrière beaucoup de petites choses. Marie nous montre que, si nous voulons que notre vie soit heureuse, il faut mettre Dieu à la première place, parce que Lui seul est grand. Combien de fois, en revanche, nous vivons en suivant des choses de peu d’importance: préjugés, rancœurs, rivalités, envies, illusions, biens matériels superflus… Que de mesquinités dans la vie! Nous le savons. Aujourd’hui, Marie invite à lever les yeux vers les «merveilles» que le Seigneur a accomplies en elle. En nous aussi, en chacun de nous, le Seigneur fait des merveilles. Il faut les reconnaître et exulter, exalter Dieu pour ces grandes choses.

Ce sont les «merveilles» que nous fêtons aujourd’hui. Marie est montée au ciel: petite et humble, elle reçoit la première la plus haute gloire. Elle, qui est une créature humaine, l’une de nous, atteint l’éternité dans son âme et dans son corps. Et elle nous y attend, comme une mère attend que ses enfants rentrent à la maison. En effet, le peuple de Dieu l’invoque comme «porte du ciel». Nous sommes en chemin, pèlerins vers notre maison d’en-haut. Aujourd’hui, nous regardons Marie et nous voyons le but. Nous voyons qu’une créature a été élevée dans la gloire de Jésus Christ ressuscité, et cette créature ne pouvait être qu’elle, la Mère du Rédempteur. Nous voyons qu’au paradis, avec le Christ, le nouvel Adam, il y a aussi elle, Marie, la nouvelle Eve et cela nous apporte du réconfort et de l’espérance dans notre pèlerinage ici-bas.

La fête de l’Assomption de Marie est un rappel pour nous tous, en particulier pour ceux qui sont affligés par des doutes et des tristesses et qui vivent en regardant par terre, qui ne réussissent pas à lever les yeux. Regardons vers le haut, le ciel est ouvert; il n’inspire pas la crainte, il n’est plus distant parce que, sur le seuil du ciel, il y a une mère qui nous attend et qui est notre mère. Elle nous aime, elle nous sourit et nous secourt avec sollicitude. Comme toutes les mères, elle veut le meilleur pour ses enfants et elle nous dit: «Vous êtes précieux aux yeux de Dieu; vous n’êtes pas faits pour les petites satisfactions du monde mais pour les grandes joies du ciel». Oui, parce que Dieu est joie, il n’est pas ennui. Dieu est joie. Laissons la Vierge Marie nous prendre par la main. Chaque fois que nous prenons en main le chapelet et que nous la prions, nous faisons un pas en avant vers le grand but de la vie.

Laissons-nous attirer par la vraie beauté, ne nous laissons pas engloutir par les mesquineries de la vie, mais choisissons la grandeur du ciel. Que la Vierge Sainte, Porte du ciel, nous aide à regarder chaque jour avec confiance et joie, où est notre vraie maison, où se trouve celle qui nous attend comme une mère.

 In the  Solemnity of the Assumption of Mary Most Holy, the Holy Virgin prays with these words: “My soul magnifies the Lord, and my spirit rejoices in God my Saviour” (Lk 1:46-47). Let us look at the two verbs in this prayer: magnifies and rejoices. Two verbs: “magnifies” and “rejoices”. We rejoice when something so wonderful happens that it is not enough to rejoice within, in our soul, but rather we wish to express our happiness with our whole body: thus we rejoice. Mary rejoices because of God. Who knows whether we too have ever rejoiced for the Lord? We rejoice over a successful result and over good news, but today Mary teaches us to rejoice in God. Why? Because he — God — does “great things” (v. 49).

The other verb: to magnify refers to great things. “My soul magnifies”. To magnify. Indeed magnifying means to extol a reality for its greatness, for its beauty ... Mary exalts the Lord’s greatness; she praises him saying that he is truly great. It is important to seek great things in life; otherwise one becomes bemused by many trivialities. Mary shows us that in order to live a happy life, we should put God in first place because he alone is great. How many times instead, we are distracted by things of little value: prejudice, resentment, rivalry, envy, illusions, superfluous material goods.... How much pettiness there is in life! We know this. Today Mary invites us to raise our gaze to the “great things” that the Lord carried out in her. The Lord does many great things in us too, in each of us. We must recognize them and rejoice, magnify God for these great things.

Today we are celebrating the “great things”. Mary is assumed into heaven: small and humble, she is the first to receive the highest glory. She, a human creature, one of us, attains eternity in soul and body. And there she awaits us as a mother waits for her children to come home. Indeed the People of God invoke her as the Gate of Heaven. We are on a journey, pilgrims towards the home that is up there. Today we look to Mary and we see the finish line. We see that a creature was assumed into the Glory of the Risen Jesus Christ, and that creature could not have been but her, the Mother of the Saviour. We see that Mary, the new Eve, is in heaven, together with Christ, the New Adam; she is also there, and this gives us comfort and hope on our pilgrimage here below.

The feast of the Assumption of Mary is a call to each of us, especially those who are afflicted by doubt and sadness, and live with their gaze turned down, unable to raise their glance. Let us look up. Heaven is open. It does not inculcate fear. It is no longer distant because on the threshold of Heaven, a mother, our mother, is awaiting us. She loves us, she smiles at us and she thoughtfully assists us. Like every mother she wants the best for her children and she says to us: “You are precious in God’s eyes; you were not made for the small satisfactions of the world, but rather for the great joy of heaven”. Yes because God is joy, not boredom. God is joy. Let us allow Our Lady to take us by the hand. Each time that we hold the Rosary in our hands and pray to her, we are taking a step forward, towards the great destination of life.

Let us allow ourselves to be attracted by true beauty. Let us not be befuddled by the trivialities of life, but rather let us choose the greatness of Heaven. May the Holy Virgin, Gate of Heaven, help us daily to trustfully and joyfully look to where our true home is, where she is awaiting us like a mother.

 En el Evangelio de hoy, solemnidad de la Asunción de María Santísima, la Virgen Santa reza diciendo: «Engrandece mi alma al Señor y mi espíritu se alegra en Dios, mi Salvador» (Lc 1,46-47). Veamos los verbos de esta oración: engrandece y alegra (en latín exsultavit, exulta, n. de la r.) Dos verbos: “engrandece” y “exulta”. Exultamos cuando sucede algo tan hermoso que no basta con regocijarse dentro, en el alma, sino que queremos expresar la felicidad con todo el cuerpo: entonces exultamos. María exulta por Dios. Quién sabe si también nosotros nos ha pasado que exultásemos por el Señor: exultamos por un resultado obtenido, por una noticia buena, pero hoy María nos enseña a exultar en Dios. ¿Por qué? Porque Él ―Dios― hace «grandes cosas» (cf. v. 49).

Las grandes cosas las recuerda el otro verbo: engrandecer. “Engrandece mi alma”. Engrandecer. En efecto, engrandecer significa exaltar una realidad por su grandeza, por su belleza... María exalta la grandeza del Señor, lo alaba diciendo que es verdaderamente grande. En la vida es importante buscar cosas grandes, de lo contrario uno se pierde detrás de tantas cosas pequeñas. María nos demuestra que si queremos que nuestra vida sea feliz, Dios debe ocupar el primer lugar, porque sólo Él es grande. Cuántas veces, en cambio, vivimos persiguiendo cosas de poca importancia: prejuicios, rencores, rivalidades, envidias, ilusiones, bienes materiales superfluos... ¡Cuántas pequeñeces en la vida! Lo sabemos. Hoy María nos invita a levantar la mirada a las «grandes cosas» que el Señor ha cumplido en ella. También en nosotros, en cada uno de nosotros, el Señor hace tantas cosas grandes. Debemos reconocerlas y exultar, engrandecer a Dios, por estas grandes cosas.

Son las «grandes cosas» que celebramos hoy. María es asunta al cielo: pequeña y humilde, es la primera en recibir la gloria más alta. Ella, que es una criatura humana, una de nosotros, llega a la eternidad en cuerpo y alma. Y allí nos espera, como una madre espera que sus hijos vuelvan a casa. En efecto, el pueblo de Dios la invoca como "puerta del cielo". Nosotros estamos en camino, peregrinos a la casa de allá arriba. Hoy miramos a María y vemos la meta. Vemos que una criatura ha sido asunta a la gloria de Jesucristo resucitado, y esa criatura sólo podía ser ella, la Madre del Redentor. Vemos que en el paraíso, junto con Cristo, el nuevo Adán, está también ella, María, la nueva Eva, y esto nos da consuelo y esperanza en nuestra peregrinación aquí abajo.

La fiesta de la Asunción de María es una llamada para todos nosotros, especialmente para los que están afligidos por las dudas y la tristeza, y miran hacia abajo, no pueden levantar la mirada. Miremos hacia arriba, el cielo está abierto; no infunde miedo, ya no está distante, porque en el umbral del cielo hay una madre que nos espera y es nuestra madre. Nos ama, nos sonríe y nos socorre con delicadeza. Como toda madre, quiere lo mejor para sus hijos y nos dice: “Sois preciosos a los ojos de Dios; no estáis hechos para las pequeñas satisfacciones del mundo, sino para las grandes alegrías del cielo”. Sí, porque Dios es alegría, no aburrimiento. Dios es alegría. Dejémonos llevar por la mano de la Virgen. Cada vez que tomamos el Rosario en nuestras manos y le rezamos, damos un paso adelante hacia la gran meta de la vida.

Dejémonos atraer por la verdadera belleza, y no absorber por las pequeñeces de la vida, escojamos, en cambio, la grandeza del cielo. ¡Qué la Santísima Virgen, Puerta al Cielo, nos ayude a mirar con confianza y alegría cada día al lugar donde está nuestro verdadero hogar, donde está Ella, que como madre nos espera!

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mercoledì 12 agosto 2020

12 August ECUMENICAL INTERNATIONAL YOUTH DAY 2020

 


WC
C celebrates Ecumenical International Youth Day 2020

The World Council of Churches this Wednesday celebrates the contributions of young people to the ecumenical movement.

 

By Lydia O’Kane

 

The youth of the world are in the spotlight this 12 August as the United Nations observes International World Youth Day. In order to raise awareness about issues young people are facing today, the World Council of Churches is marking its own Ecumenical International Youth Day this Wednesday.

The initiative was launched in Geneva in 2019 in order to highlight "the contributions of young people to the ecumenical movement.”

2020 focus on Mental Health

This year Ecumenical IYD will focus on the issue of mental health. This theme is the result of input from young people within and outside WCC networks who wanted to explore this pressing topic.

The WCC programmes on Youth Engagement in the ecumenical movement and Health and Healing are collaborating on this year’s theme.

Joy Bohol is Programme Executive responsible for Youth Engagement at the World Council of Churches. She told Vatican News that young people are really looking forward to the 12 August event.

“We have so much excitement that we received from many people all over the world.”

Due to the effects of the COVID-19 pandemic, this year’s celebration will be a virtual one, bringing together a variety of events, with the help of technology, from different parts of the world.

According to Ms. Bohal, this virtual gathering is really aimed at “highlighting different contributions from all over the world.” “You will see,” she says, “that young people will be leading different parts of the virtual event.”

As part of this global youth celebration, there will be readings from different regions around the world, including the Pacific region, Africa, Europe, North and Latin America. There have also been songs composed and written especially for this International Youth Day.

Youth on the front line

Speaking about the importance of young people to Christian churches today, Ms. Bohal notes that Jesus and His disciples were young people too. She also points out that the youth of the world are the ones that are on the “front line to use our gifts and through our faith to respond to the different issues in our world today, so the church is being called to be intentional in providing the spaces of shared leadership with young people towards bringing the Kingdom of God on earth.”

 

Vatican news