martedì 31 luglio 2018

CONGO RD . 10me anniversaire du MSJ


Bunkeya - RD Congo " Du 23 au 28 Juillet 2018, les jeunes du Mouvement Salésien des Jeunes ont vécu le forum jubilaire pour célébrer les 10 ans d'existence du MSJ dans la Province Maria Assunta-AFC. 
A cette occasion les jeunes ont promis durant toutes les formations qu'ils seront acteurs pour construire notre Eglise, notre pays et notre famille salésienne, ils refusent d'être spectateurs. 
A la fin de ce forum chaque jeune a reçu le brevet de participation au cours de la messe. Merci à tous les jeunes qui ont participé à ce forum jubilaire et aux organisateurs..
.La Province AFC vous appartient, construisez-la, soyons acteurs.
Nous remercions les enfants, les jeunes et les parents de Bunkeya qui nous ont accueillis. Que Dieu vous bénisse ! 
P. Albert Kabuge, provincial AFC

lunedì 30 luglio 2018

MONDIAL DAY HUMAN TRAFFICKING

Pope calls for a firm stand against 'shameful crime' of human trafficking
Pope Francis on Sunday looked ahead to the World Day against Trafficking in Persons, marked each year on 30 July, and said it is everyone’s responsibility to take a stand against the shameful crime.

Pope Francis has appealed to all men and women of goodwill to take responsibility, denounce injustice and stand firm against the "shameful crime" of human trafficking.
Addressing the faithful gathered in St. Peter’s Square for the Sunday Angelus, the Pope recalled that Monday, 30 July, is World Day against Trafficking in Persons, promoted by the United Nations.
“This scourge, he said,  reduces many men, women and children to slavery”.
It’s aim, he continued, is to exploit them for cheap labour, for the sex trade, for the trade of organs, to force them to beg or to engage in delinquency.
Francis also highlighted the fact that “the routes of migration are also often used by traffickers and exploiters to recruit new victims of trafficking”.
Pope Francis has repeatedly denounced human trafficking, which is believed to claim 40 milliion victims worldwide, calling it a “crime against humanity.”

domenica 29 luglio 2018

ESPOIR IRAK. LA RENTREE SE PREPARE, EN IRAK AUSSI!

L’Irak connaît un retour au calme depuis six mois et nombre d’écoles préparent leur première rentrée depuis cinq ans. Pour autant sa population, notamment chrétienne, continue à avoir besoin d’aide face aux défis posés par la reconstruction et surtout le retour, notamment par l’éducation, à un vivre ensemble apaisé.
Après quatre ans de Campagne Espoir-Irak, l’enseignement catholique continue donc à soutenir les Chrétiens de cette région et appelle ses établissements à se mobiliser autour de nouvelles actions de solidarité en directions d’écoles de la plaine de Ninive.
Voici, à chaud, les témoignages de la délégation de l’enseignement catholique partie en mission du 23 au 28 juin 2018, faire un état des lieux de la situation.
Après quatre années de campagne Espoir Irak, nous nous réjouissions d’aller rencontrer les familles chrétiennes que nous avons suivi dans les camps à Erbil, chez elles dans leurs maisons dont ils nous ont tant parlé.
Après un passage rapide par le camp d’Asti qui s’est quasiment vidé de ses 5.000 personnes, c’est avec joie que nous avons pris la route vers la Plaine de Ninive.
Mais très vite, la réalité s’est imposée à nous : nous sommes dans une région où la sécurité est plus qu’incertaine. Des camps demeurent encore le long des routes, et des militaires et des check-points jalonnent le parcours. Nous sentons la tension de nos amis chrétiens qui nous accompagnent à chaque point de contrôle.
Premier village, premières images bouleversantes de maison, d’écoles et d’églises brulées et mitraillées, de carcasses de véhicules abandonnées. Nous avions bien vu des images à la télévision mais la réalité est toute autre… Mossoul est bien entendu le spectacle le plus inimaginable : une ville presque entièrement détruite.
Ruines du quartier chrétien de Mossoul.
On ne peut que se demander comment envisager un retour dans un tel contexte, comment reconstruire une vie et quel avenir des parents peuvent envisager alors pour leurs enfants ?
Alors que nous étions très affectés par ce que nous découvrions, très vite la force de l’instinct de vie de cette population chrétienne nous a emportés vers des pensées lumineuses et constructives. Cela doit être la Foi.
Dimanche soir, nous avons pu assister à la messe en l’église Mar Behnam et Sarah à Qaraqosh. Cette église au clocher cassé en deux, noircie comme toutes les autres églises par des traces d’incendie, rayonnait d’une communauté jeune et dynamique.
C’est cette communauté chrétienne que nous vous invitons à soutenir encore et toujours avec la campagne Espoir Irak. Plus que jamais, nous sommes convaincus de la nécessité cruciale de la campagne car si la destruction a été relativement rapide, reconstruire va demander de nombreuses années.
Entrée de l’école Al Tahira tenue par les soeurs dominicaines, avec son aumônier à Qaraqosh.
Et nous avons eu la joyeuse et émouvante surprise de rencontrer au hasard de visites des personnes qui nous ont remercié d’être revenus… Un directeur d’école rencontré en 2015 à Erbil, nous a reconnu bien avant nous et s’est précipité pour nous montrer dans son téléphone la photo que nous avions faite ensemble dans son école.
Alors oui nous pouvons dire aujourd’hui que tout le soutien que nous avons apporté depuis quatre ans à ces familles chrétiennes irakiennes est un symbole fort d’espoir qui les accompagne et dont ils ont besoin. Nos actions menées dans les écoles -comme les veilleuses d’espoir- les touchent sincèrement. C’est pourquoi, cette année encore, nous allons vous solliciter afin de les aider à donner une éducation de qualité à tous les enfants, dans des écoles privées qui accueilleront tous les jeunes, quelle que soit leur religion, avec le projet de donner du sens au vivre ensemble dès le plus jeune âge.
Actuellement, les prêtres et les sœurs dominicaines s’activent pour préparer la rentrée avec les équipes pédagogiques: On discute programme, on lessive, on reconstruit, on peint… avec une énergie à la hauteur du défi de permettre, par l’éducation, une paix durable dans la région.
Remise de fournitures scolaires aux soeurs dominicaines de l’école Al Tahira (Qaraqosh) avec Valérie Gardette et Valérie Gaspard
Les jeunes de leur côté, profitent des vacances scolaires pour remonter la fanfare des scouts, préparer leur première communion.
On vous le dit du fond du coeur, ils sont source de beaucoup d’admiration de notre part, nous qui avons la chance de partager de beaux et forts moments de vie avec eux mais nous avons parfaitement conscience aussi de l’immensité de la difficulté qui leur est donné à vivre.
Nous comptons sur vous pour soutenir la nouvelle campagne « colorée » Espoir Irak qui sera mise en ligne dès la rentrée de septembre.  

Témoignage de Valérie Gaspard, Membre de l’appel et animatrice de l’opération Espoir-Irak

sabato 28 luglio 2018

SOUTH SUDAN - The Comboni nuns are committed to education, integration and religious coexistence

The future of the country is in the hands of the new generations and a good preparation, not only academic, is the basis for building a society that respects the common good. This is what Sister Freweini Ghebreab, a Comboni missionary, contact person of the Omdurman's "Comboni Girls School" project, explains in a note sent to Agenzia Fides. In the city, which is a few kilometers from Khartoum, there are many displaced families, who returned back to the North due to the unrest and conflicts in South Sudan.
The aim of the "Comboni Girls School" is to guarantee an integral education that confirms the dignity of the person and gives security in life, as well as preparing them at an academic level, so that they can better understand their role in society and in the family. The school is attended by schoolgirls and Christian and Muslim students, aged between 5 and 17, about 100 primary school students and 25 high school students are helped to pay the annual school tuition, uniform and teaching material. The Comboni missionary nuns, who have been carrying out this activity for almost 100 years, offer the possibility of education for girls in the city and suburbs, believing that education is a right for everyone, poor and rich.
Already in May 2017, the Comboni missionaries had launched the "Education in Omdurman" project to "foster culture and increase the dignity of a people in living the human and Christian values of freedom, justice and human dignity". The project is aimed at poor families who do not have the money to send their daughters to school. Because of the war in South Sudan, in fact, many Christian families are fleeing to the North, looking for a Christian school for their children. (FG/AP) (Agenzia FideS) 

venerdì 27 luglio 2018

BURUNDI. FORMATION DES ENSEIGNANTS - LA CULTURE DE LA PAIX ET DE RECONCILIATION

Formation des enseignants coodonné par Mme Joustine Ndajsaba
 
Les équipes enseignantes du Burundi initient le projet de « Renforcement des capacités des enseignants catholiques  sur la non-violence, la gestion pacifique des conflits et sur la culture de la paix et de la réconciliation selon la doctrine sociale de l’église.
Du 23 juillet le matin au 26 juillet 2018 le matin , c’était le 3ème séminaire de formation qui a été ouvert par son Excellence Monseigneur Archevêque Evariste NGOYAGOYE Président de la commission épiscopale de l’apostolat des laïcs.
Ces enseignants catholiques avec les prêtres aumôniers des mouvements d’action catholique et directeurs des écoles sous convention catholique  avaient des thèmes suivants :
1.    La non-violence active pour une société plus humaine, fraternelle et pacifique par Abbé Eugène NIMENYA;
2.    La recherche de la vérité en vue de la réconciliation pour une paix durable dans le cadre de la commission vérité et réconciliation par Ambassadeur KAVAKURE Laurent ;
3.    Le rôle des confessions religieuses dans le processus de la paix et de la réconciliation par Abbé Salvator NICITERETSE ;
4.    Le rôle de l’éducateur chrétien dans la formation des consciences par Monseigneur MURWUWUNDI Théogène Aumônier National et Régional des équipes enseignantes;
5.    Le but et la mission des équipes enseignantes par NDAYISABA Justine
Responsable Nationale et Régionale des équipes enseignantes ;
6.    La dimension politique de la réconciliation par son Excellence ex Président de la République du BURUNDI Honorable NTIBANTUNGANYA Sylvestre
7.    Les valeurs universelles au service d’un Burundi pacifique et réconcilié par Ambassadeur Balthazar HABONIMANA
A l’issu des échanges qui ont eu  lieu dans les carrefours sont sortis des recommandations et résolutions.
Les participants ont été très intéressés et seront dynamiques dans la restitution de la formation reçue auprès de leurs frères et sœurs dans leurs écoles et dans leurs communautés locales respectives.

giovedì 26 luglio 2018

POPULISMO. CHE COSA PUÒ FARE LA SCUOLA?

La scuola può arginare 
il populismo

di Maurizio Muraglia

Considero il populismo un problema educativo. E quindi didattico. Scindere i due livelli non è utile quando si parla di scuola e di istruzione. Credo che il popolo italiano sia un popolo tendenzialmente populista, incline alla sudditanza e all’entusiasmo per ogni forma di seduzione politica. E lo credo perché credo che in più di un secolo e mezzo la scuola italiana non sia riuscita a produrre le condizioni per la piena cittadinanza, cioè per l’anticorpo più efficace contro il populismo.
In fondo l’art.3 della Costituzione indica alla scuola il compito di rimuovere gli ostacoli che impediscono il pieno sviluppo della persona umana, ed il populismo a mio modo di vedere rappresenta una fase non pienamente sviluppata della persona umana. Sia la persona che lo esercita sia quella che lo subisce. Infatti il populismo presenta questa dimensione relazionale. Non c’è populista senza popolo disposto a farsi portare laddove il populista vuole. E questo popolo o pseudo-tale si rende disponibile a misura del legame fideistico che vuole instaurare con il leader di turno e che si basa sulla capacità del leader di dare risposte semplici a problemi complessi, tacciando chi vuole cercare risposte complesse di intellettualismo paranoico. Il desiderio di semplificazione è una molla tipica degli animi non abituati al pensiero complesso e alla fatica della discussione.
Il problema educativo sta tutto qui. Nella possibilità che ci si faccia portare dove altri vogliono senza disporre degli strumenti che servono per capire non solo il “dove”, ma anche il “chi”. Questi strumenti sono culturali e non garantiscono il successo dell’operazione. I populisti infatti dispongono oggi di strategie suasorie certamente superiori a quelle dei loro predecessori (quelli antecedenti alla TV per esempio).
Questo è ben noto a tutti. Ma non esautora ugualmente l’educazione dal fare la sua parte con il supporto decisivo dell’istruzione, senza la quale l’educazione si risolve in puro chiacchiericcio predicatorio e valoriale.
Il sistema scolastico italiano è chiamato in causa dall’emergenza populista. Alcuni anni fa si è parlato di emergenza educativa in rapporto alla condizione giovanile. Ricordo bene. Il bullismo, l’uso sconsiderato dei social e dei cellulari, gli atti di violenza sorreggevano l’impianto emergenziale del discorso educativo. Di emergenza populista non ho mai sentito discutere, benché dopo Tangentopoli, quando ancora i nostri diciottenni non erano nati, il populismo abbia rappresentato il fulcro del discorso politico pubblico, senza interruzioni (a parte le brevi stagioni di Prodi e Gentiloni, che non a caso non “bucavano” lo schermo) fino ai nostri giorni. Quindi stiamo parlando di un fenomeno che, seppur presenta la sua punta dell’iceberg nel discorso e nella prassi politici, affonda le radici in una sorta di fisionomia antropologica nazionale, ed è per questo a mio modo di vedere che finisce per interpellare l’educazione.
Il sistema scolastico italiano, dunque, di fronte al populismo. Accenno in sintesi a tre essenziali livelli di attenzione.
Il clima “politico” interno alle scuole. È il primo banco di prova dell’attitudine partecipativa. La scuola infatti è un microcosmo politico, con tanto di organi decisionali e regolamenti. Dovrebbero regnarvi, come tratti stilistici fondamentali, la discussione e l’argomentazione. Trovo che siano i due pilastri di un’educazione alla cittadinanza democratica. Discutere e argomentare. All’interno delle aule e negli organi collegiali. È nel conflitto delle interpretazioni e nell’argomentazione dei punti di vista, infatti, che si annida la possibilità di smascherare pregiudizi, stereotipi e luoghi comuni. Tutto ciò di cui si nutre il discorso populista.
L’ethos culturale. Ma per discutere e argomentare bisogna averne voglia e soprattutto saperlo fare. Lasciando questo secondo livello alla didattica, mi fermo sull’ethos culturale, ovvero su quella condivisione di sentire che una comunità educativa dovrebbe percepire come pertinente alla sua missione. La condivisione del sentire non ha niente a che vedere con l’omologazione e col pensiero unico. Condividere il sentire vuol dire qui mettere in comune il desiderio di fare dell’ambiente scolastico un ambiente tollerante e pluralistico. E cercare tutte le condizioni e le occasioni per favorire il pronunciamento, l’approfondimento, il dibattito.
Il ruolo dei saperi. Lo specifico della scuola è che fa incontrare gli allievi con la cultura. I saperi sono proprio gli ingredienti di questo incontro. A mio modo di vedere i saperi dovrebbero essere al servizio dell’ethos culturale pluralistico di cui ho appena parlato. Devono sapersi trasformare in cultura personale degli allievi e degli insegnanti. La scuola attraverso i saperi ha la possibilità di trasformarsi in un forum permanente. Ma una simile promessa richiede una modalità di trattamento dei saperi che deve fare giustizia di alcuni nemici storici, proprio quelli che hanno impedito alla cultura della scuola di costruire la cittadinanza necessaria ad esorcizzare la banalità dei populismi. Quali sono questi nemici? Anche qui tre essenziali.
La pedanteria. Si tratta di una categoria-ombrello che accoglie sotto di sé alcuni virus implacabili: il nozionismo, L’accumulo burocratico del sapere, la trasmissione unidirezionale, la valutazione numerica. Tutta roba che configura la scuola quale spazio attento alle formalità e alle carte, ai programmi da svolgere, alle medie dei voti. Gli insegnanti, all’interno di questo paradigma, sono più impiegati che intellettuali. E vivono di stereotipi: devo svolgere il programma, potrebbe fare di più, dilla con parole tue, non è scolarizzato, non ha metodo di studio, non ha la media del sei ed altri costrutti che rimandano piuttosto a verifiche pedanti che a veri eventi formativi.
La chiusura culturale. L’attualità fa capolino fino ai 15 anni. Il triennio della secondaria superiore sembra poi dimenticare gli anni di nascita dei ragazzi. Abbiamo fatto cenno a Tangentopoli. Impensabile che in classe si sappia di che si parli. L’obiezione ipocrita che in classe non si dovrebbe parlare di questi temi per non condizionare nasconde in moltissimi casi la sostanziale ignoranza degli stessi, che imbarazza non pochi docenti. La contemporaneità sembra la grande esclusa dall’orizzonte culturale dei nostri studenti. Quale cittadinanza si vuole costruire e quale ethos culturale fondato su discussione e argomentazione può essere praticato senza avere acuta percezione del tempo che si vive? Non sorprende che il populismo attecchisca dove alligna l’ignoranza.
La formazione dei docenti. Abbiamo insegnanti che vengono invitati ad aggiornarsi su tecniche. Compiti autentici, rubriche valutative, progettazione per competenze. Oppure devono impadronirsi di tutto l’armamentario neoliberistico che prende il nome di RAV, PDM, PTOF, volto a far crescere la cultura del Dato, dell’Esattezza e della Numericità. Gli insegnanti sembrano sommersi da tecniche e protocolli. Di cui peraltro non comprendono la ratio perché in larghissima misura non hanno contezza della loro origine normativa, che è sempre un’origine culturale. E il cerchio si chiude.
La normativa scolastica è figlia di paradigmi culturali. Conoscerla criticamente significa capire la destinazione di quel che si fa e pertanto crescere in cittadinanza e senso critico.
Qui infatti è l’approdo della questione. Chi può veicolare cittadinanza se non cittadini? Capaci di discutere e argomentare? Ethos culturale ed ethos democratico qui si danno la mano, ed entrambi sono frutti di una paideia. Perché stupirsi del trionfo italiano dei populismi se la cittadinanza sonnecchia e la paideia che ne è il nutrimento si attorciglia appresso a utopie neopositivistiche fatte di statistiche, graduatorie, test, percentuali? Abbiamo una scuola che si è modernizzata dandosi un sistema nazionale di valutazione, tanto digitale e tanta chiacchiera sull’inclusione (anche qui sigle: BES, DSA, PDP, PAI….). Ma nelle classi nessuno sa che cosa sia successo in Italia negli ultimi quarant’anni, quali siano le tendenze fondamentali del nostro tempo e che cosa sia questo populismo di cui discutono i talk show.
I nostri alunni si diplomano, il mondo va da un’altra parte e la scuola recita sempre il suo discorso.


da www.tuttavia.eu
 
 

sabato 21 luglio 2018

UNESCO - BOLIVIA- EDUCACION DE CALIDAD

II Reunión Regional de Ministros de Educación

La cita, convocada por la UNESCO y por el Ministerio de Educación del Estado Plurinacional de Bolivia, tiene como objetivo dar seguimiento a los compromisos presentes en la Declaración de Buenos Aires, emanada en la I Reunión Regional de Ministros de Educación de América Latina y el Caribe (Argentina, 2017). Dicha declaración confirma como temas prioritarios de la región el aprendizaje a lo largo de toda la vida, la calidad de la educación, la equidad e inclusión y los docentes.
En Cochabamba, los ministros de la región formularán recomendaciones sobre políticas y acciones educativas, con una perspectiva innovadora e intersectorial para cada uno de los temas priorizados. Asimismo, consensuarán los mecanismos de cooperación regionales necesarios para financiar y monitorear los programas educativos que respondan a las metas del ODS4. La reunión será un espacio para intercambiar ideas, revisar experiencias, desafíos y lecciones aprendidas para repensar la educación y definir enfoques innovadores.
Los resultados de los debates serán integrados en la Hoja de Ruta de América Latina y el Caribe para la implementación del ODS4-E2030, cuya propuesta fue elaborada en 2017 y 2018 por representantes de ministerios de Educación de la región, agencias de Naciones Unidas, organizaciones regionales e internacionales de carácter multilateral y de la sociedad civil.
La Hoja de Ruta plasmará una visión estratégica compartida para avanzar en la regionalización de la Agenda de Educación 2030, a través de la formulación de recomendaciones de políticas que puedan ser implementadas a nivel nacional y regional.
Antecedentes de la II Reunión Regional de MinistrosEDUCACION DE 
En enero de 2017 los ministros de educación de América Latina y el Caribe, la comunidad educativa de la región y otros aliados se reunieron en Buenos Aires para establecer una visión común sobre las prioridades educativas. “Las autoridades allí presentes acordaron orientaciones estratégicas y tomaron decisiones sobre los mecanismos de coordinación regionales necesarios para lograr las metas educativas hacia el 2030. Los compromisos suscritos por los Estados Miembros están plasmados en la Declaración de Buenos Aires”, explica Claudia Uribe, directora de la Oficina Regional de Educación para América Latina y el Caribe (OREALC/UNESCO Santiago).
Uribe señala que en dicha cita ministerial también se reconoció que, para lograr la implementación del ODS4 ‐ Educación 2030 en la región “son necesarios acuerdos concertados por todos los países. Con este mandato, la Oficina Regional de Educación de la UNESCO para América Latina y el Caribe ha organizado reuniones y foros regionales previos a esta II Reunión Regional de Ministros para aunar estas perspectivas y generar acciones concertadas”.
La II Reunión de Ministros de Educación de América Latina y el Caribe tiene como anfitrión al Gobierno del Estado Plurinacional de Bolivia. Al respecto, el ministro de Educación de dicho país, Roberto Aguilar expresó su satisfacción, la de las instituciones y de los ciudadanos de Bolivia, y en particular de Cochabamba, por recibir a las delegaciones participantes, especialmente a los ministros de Educación de América Latina y el Caribe, en los encuentros regionales que tendrán lugar en su país a fines de julio.
 Mayor información en nota de prensa publicada por UNESCO

venerdì 20 luglio 2018

GHANA. Fifth Meeting on “Challenges for the Youth in Africa”.

The challenges of charismatic Pentecostal movements, Youth and family life in Africa in reference to Pope Francis’ Exhortation Amoris Laetitia, Youth unemployment and role of the church as well as the experiences and challenges of married couples in contemporary Africa formed the basis of deliberations at the fifth annual meeting of Network Pastoral Africa.
The meeting whose theme was Challenges for the Youth in Africa took place at the Tamale Institute of Cross-Cultural Studies (TICCS) in Tamale, Ghana, from 2 to 5 February 2018 and was attended by about 30 participants among them Director of AMECEA Pastoral Institute (API) Gaba, Rev. Dr. Joseph Ekomwa, the Coordinator of Gaba Publications Rev. Fr. Jordan Nyenyembe and Coordinator of AMECEA Pastoral Department Rev. Fr. Emmanuel Chimombo.
Over the past five years the Catholic Church in Africa established a forum for Networking between Pastoral Institutes with an aim to provide an African context for reflection on pastoral theology and a forum for an international African exchange of pastoral ministry. At this fora, representatives of leading pastoral institutes share their experiences to strengthen and inspire one another.
It was clear from the deliberations, that the lay faithful often times experience a spiritual void which the church does not respond to adequately. As such, participants committed themselves to invest in adequate catechesis of the laity with special attention to the youth. This will form a good ground for the upcoming “Synod of Bishops on the Young people, the Faith and Vocational Discernment,” scheduled for October this year in Rome.
The workshop was organized by Missio - Pontifical Mission Society Aachen (Missio Aachen) under the leadership of Dr Stefan Voges in collaboration with Fr. Joshua Gariba (SVD) brought together participants from Kenya, Malawi, Mozambique, Zambia; Tanzania, Zimbabwe, Nigeria, Zambia, Mali, South Africa, Missio Aachen Germany and Ghana, which was the host.
Last year the Fourth Annual meeting of the Network Pastoral Africa took place in Arusha, Tanzania while the Third Annual meeting took place at the AMECEA Pastoral Institute Gaba, in Eldoret, Kenya. The two previous meetings were held at Lumko, South Africa in 2013 and at the Centre for Social Concern and the Kungoni Centre of Culture and Art in Malawi in 2014.
 

giovedì 19 luglio 2018

ITALIA. MIGRANTI, DALLA PAURA ALL'ACCOGLIENZA

mmigranti Josephine Open Arms

Gli occhi sbarrati e lo sguardo vitreo di chi si vede sottratto in extremis all’abisso che ha inghiottito altre vite umane sono solo l’ultima immagine di una tragedia alla quale non ci è dato di assuefarci.
Ci sentiamo responsabili di questo esercito di poveri, vittime di guerre e fame, di deserti e torture. È la storia sofferta di uomini e donne e bambini che – mentre impedisce di chiudere frontiere e alzare barriere – ci chiede di osare la solidarietà, la giustizia e la pace.
Come Pastori della Chiesa non pretendiamo di offrire soluzioni a buon mercato. Rispetto a quanto accade non intendiamo, però, né volgere lo sguardo altrove, né far nostre parole sprezzanti e atteggiamenti aggressivi. Non possiamo lasciare che inquietudini e paure condizionino le nostre scelte, determinino le nostre risposte, alimentino un clima di diffidenza e disprezzo, di rabbia e rifiuto.
Animati dal Vangelo di Gesù Cristo continuiamo a prestare la nostra voce a chi ne è privo. Camminiamo con le nostre comunità cristiane, coinvolgendoci in un’accoglienza diffusa e capace di autentica fraternità. Guardiamo con gratitudine a quanti – accanto e insieme a noi – con la loro disponibilità sono segno di compassione, lungimiranza e coraggio, costruttori di una cultura inclusiva, capace di proteggere, promuovere e integrare.
Avvertiamo in maniera inequivocabile che la via per salvare la nostra stessa umanità dalla volgarità e dall’imbarbarimento passa dall’impegno a custodire la vita. Ogni vita. A partire da quella più esposta, umiliata e calpestata.

La Presidenza
della Conferenza Episcopale Italiana

Roma, 19 luglio 2018

martedì 17 luglio 2018

CONGO. VOLONTARIAT MISSIONNAIRE SALESIEN

Ce 15 juillet 2018 dans la Chapelle de Salama, 34 jeunes volontaires missionnaires ont envoyés en mission dans nos différentes oeuvres de la Province d'Afrique Centrale 'Lubumbashi, Bukavu, Goma, Sakania, Uvira,..' 
Au cours de la célébration ces jeunes missionnaires ont promis à Dieu de vivre dans la fidélité leur mission tout en répandant l'esprit missionnaire et chacun a reçu le bracelet missionnaire qui marque leur engagement et signe de reconnaissance. 
Merci aux accompagnateurs de la Pastorale Universitaire-Eciam qui ont pris le temps pour la formation. 
Chers jeunes missionnaires, que Dieu vous accompagne et vous soutienne. 
Nous prions pour vous.
P. Albert Kabuge

domenica 8 luglio 2018

ROMANIA - ORADEA - CHORUS OF THE GREEK-CATHOLIC SCHOOL

Concert al Corului de Copii Radio, aflat pentru prima dată la Oradea,
 în Catedrala „Sfântul Nicolae”
 Pentru prima dată prezent la Oradea, Corul de Copii Radio a susţinut vineri, în Catedrala greco-catolică „Sfântul Nicolae”, concertul extraordinar „The Sound of Musical”, în cadrul Festivalului European Music Open (19-24 iunie).
Corul de Copii Radio a fost reprezentat printr-un grup de 47 de copii şi adolescenţi, dintre care 11 băieţi, sub îndrumarea dirijorilor Voicu Popescu şi Răzvan Rădos şi acompaniaţi de pianista Magdalena Faur. Conducerea corului a onorat invitaţia făcută de tenorul orădean Alexandru Badea de a concerta pentru prima dată în oraş, ei fiind găzduiţi de episcopia greco-catolică.
Oaspeţii au oferit publicului un program cu melodii ale copilăriei, începând cu „Vine, vine primăvara”, altele din filmul Veronica, urmate de cele mai cunoscute şi îndrăgite piese celebre de musical, precum I feel pretty, Singing în the rain, Supercalifragilisticexpialidocious, Edelweiss, Sound of music. Reprezentaţia artiştilor a fost intens răsplătită cu aplauze şi buchete de flori.
Episcopul Virgil Bercea le-a mulţumit copiilor şi oaspeţilor pentru atmosfera muzicală de excepţie pe care au oferit-o în catedrală.
„Ne-aţi creat o seară minunată. Am încercat în această oră şi jumătate să redevenim şi noi copii. Sufletele noastre se întorc acasă mai bune, mai sfinte, mai curate,” a spus episcopul Virgil Bercea, alături de care s-a aflat şi episcopul romano-catolic Bocskei Laszlo.
Întrebat despre valoarea artei corale pentru copii, dirijorul Voicu Popescu a declarat, pentru AGERPRES, că pe fondul „lipsei de atenţie” pentru educaţia muzicală, în general, a copiilor, corul de copii Radio şi-a asumat misiunea de a înzestra copilul cu sensibilitatea necesară şi specifică vârstei lui, lucru care „nu se prea întâmplă în mediul şcolar, din păcate”.
„Copiii găsesc aici o mare bucurie în a descoperi că au afinităţi comune cu alţi copii, că pot comunica sensibil, că pot transmite emoţii. Această sondare a emoţiilor are ca efect direct reducerea violenţei verbale şi fizice în rândul copiilor, înnobilează spiritul şi îi ajută să devină performanţi în celelalte domenii. O bună oră de muzică asigură o bună oră de matematică şi fizică indiferent ce cred domnii profesori”, a afirmat dirijorul Voicu Popescu.
Maestrul şi-a exprimat dezamăgirea şi nemulţumirea pentru faptul că ora de cor a trecut undeva la coada sistemului, fiind dovada incapacităţii înţelegerii acestor nevoi ale copiilor. „Poate, cândva, vor fi şi minţi mai luminate care vor şti să aprecieze acest lucru şi să pună ora de muzică acolo unde-i este locul”, a mai spus Popescu.
Directoarea Liceului greco-catolic, Antonia Nica, unul dintre continuatorii mişcării corale orădene, în calitate de fondator şi dirijor al Corului Fiat Lux, a spus, pentru AGERPRES, că după 25 de ani de activitate corală, ideea de comuniune o consideră una dintre „cele mai sănătoase modalităţi de educaţie”.
„Sufletul trece într-o altă stare când are parte de muzică. Iar a cânta împreună este o modalitate de comuniune. În Frumos. Cred că pentru dezvoltarea emoţională a copilului, cântarea în comun ar trebui să fie obligatorie în educaţia de zi cu zi. La popoarele asiatice, studiul unui instrument muzical face parte din cotidian. Se pare că  acolo sunt luate mai în serios beneficiile muzicii în viaţa noastră”, a declarat Antonia Nica.
Înfiinţat în 1945, Corul de Copii Radio este un ansamblu vocal recunoscut atât pe plan naţional cât şi internaţional, o emblemă culturală a României. În 2004, cu trei ani înaintea intrării României în UE, Corul de Copii Radio a primit titlul de Ambasador Cultural al Uniunii Europene.
 Cea de-a patra zi a Festivalului European Music Open a adus în faţa publicului orădean Corul de copii Radio din Bucureşti, sub bagheta dirijorilor Voicu Popescu şi Răzvan Rădos, acompaniaţi la pian de Magdalena Faur . Concertul a avut loc în Catedrala „Sfântul Nicolae” în prezenţa Preasfinţiei Sale Virgil Bercea, gazda evenimentului, a Excelenţei Sale László Böcskei, episcop romano catolic de Oradea şi a unui public impresionant.
Corul de Copii Radio este un ansamblu vocal recunoscut atât pe plan naţional cât şi internaţional. Activitatea corului se întinde pe durata a mai mult de 6 decenii şi pe cuprinsul mai multor ţări şi continente. Printre acestea se numără Franţa, Regatul Unit, Belgia, Germania, Italia, Suedia şi Finlanda, România, Elveţia, Japonia, Statele Unite ale Americii, Canada şi Turcia. Începuturile „Corului de Copii Radio” se leagă de numele lui Dumitru D. Botez şi al dirijorului Ion Vanica, cei doi fiind cei care, în toamna anului 1945, au pus temelia primei generaţii care a alcătuit această corală. Alcătuit iniţial din numai 12 copii, în numai câţiva ani, corul câştigă aprecierea conducerii publicului de specialitate. În 2004, cu 3 ani înaintea intrării României în U.E., Corul de Copii Radio a primit titlul de AMBASADOR Cultural al Uniunii Europene.
În ultimii ani, sub îndrumarea dirijorului Voicu Popescu, ansamblul explorează noi forme de expresie artistică, îndreptându-se preferenţial către manifestări conceptuale şi de cooperare culturală cum ar fi: Songbridge-Canada, Brundibar-Franţa, Les Instants Sacrés-Franţa, Amadeus-România, Voci d’Europa-Italia, Adiemus-România şi Strălucirile apei în România şi Franţa. Ultimele două producţii au adus formaţiei Premiul Special “In memoriam Iosif Sava” pentru anul 2007, oferit de Radio România Cultural. În 2008, ansamblul realizează concertul spectacol Amprente (Romanian Roots) cu care este prezent atât la manifestări din România, cât şi în străinătate, în ţări precum Danemarca, Suedia, Germania, Bulgaria, unde obţine aplauze furtunoase şi aprecieri superlative.
A treia ediţie a Festivalului European Music Open are loc prin sprijinul domnului Alexandru Badea, Primăria Oradea, Asociaţiei pentru promovarea turismului din Oradea şi regiune (APTOR), Teatrului de Stat „Regina Maria”, Episcopiei Greco-Catolice, Episcopiei Romano-Catolice de Oradea şi al Muzeului Ţării Crişurilor.
Eugen Ivuţ – Biroul de presă al Episcopiei de Oradea
 
 

venerdì 6 luglio 2018

UNESCO - SYNPOSIUM ON DON PRIMO MAZOLARI - COLLOQUE INTERNATIONAL SUR DON PRIMO MAZZOLARI

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Sous le patronage de l’UNESCO, la Mission d’Observation Permanente du Saint-Siège auprès de l’UNESCO et le Diocèse de Crémone (Italie), en collaboration avec la Fondation “DON PRIMO MAZZOLARI”, organisent un Colloque international sur don Primo Mazzolari bâtisseur de la paix.
L’événement aura lieu de 15h à 18h le jeudi 29 novembre 2018, auprès du siège principal de l’UNESCO (Salle II) – 125 Avenue de Suffren – 75007 Paris (Francia).
Le rencontre – intitulé “LE MESSAGE ET L’ACTION DE PAIX DE DON PRIMO MAZZOLARI (1890-1959)” – sera honoré : 
-  de un vidéo-message de SA SAINTETÉ LE PAPE FRANCOIS, qui se rendit à sa tombe à Bozzolo (Diocèse de Cremona) le 20 Juin 2017 en y prononçant un discours pour honorer sa mémoire, et   de la présence de S.EM. Le CARD. PIETRO PAROLIN, Secrétaire d’Etat de Sa Sainteté, qui délivrera l’intervention principale.
Après les amabilités de MGR. FRANCESCO FOLLO, Observateur Permanent du Saint-Siège auprès de l’UNESCO, et de S.E. MGR. ANTONIO NAPOLIONI, Evêque de Cremona, le Directeur Générale Adjoint MR. XING QU, présentera le point de vue de l’UNESCO sur le sujet de l’événement.
Ensuite, la parole passera à : 
- PROF. GUY COQ, présidente honoraire de l’association “Amis d’Emmanuel Mounier”, 
- PROF.SSA MARIANGELA MARAVIGLIA, membre du comitée scientifique de la Fondation “Don Primo Mazzolari”, 
- PROF. DON BRUNO BIGNAMI, présidente de la Fondation “Don Primo Mazzolari”).
MGR. FRANCESCO FOLLO, conjointement avec S.E. MGR. ANTONIO NAPOLIONI, soumettra des brèves réflexions conclusives.
Il s’agit d’un événement revêtant une importance culturelle internationale autour de la personne et des œuvres de DON MAZZOLARI : attiré par la philosophie française, DON MAZZOLARI il fut contemporaine du français EMMANUEL MOUNIER, (1905 - 1950) philosophe et fondateur du personnalisme communautaire et il fut lecteur de la Revue « Esprit » qui se définie comme « un espace un espace de rencontres autour de quelques points d’appui où chrétiens, musulmans, agnostiques, juifs et incroyants peuvent se retrouver dans une réflexion sur le monde que nous avons à construire ».
Il n’est pas possible de comprendre l’écrivain don Primo Mazzolari, son engagement pour la résistance et son activité après la seconde guerre mondiale à travers le bimensuel « Adesso », sans l’influence de la philosophie française. Toutefois, il a amélioré le personnalisme d’idées pour donner force à la vision évangélique de l’homme.
Pour appliquer ces idées, en particulier dans la lutte contre la pauvreté, DON PRIMO MAZZOLARI a assuré une publication intitulée « la parole aux pauvres » aussi pour diffuser le message biblique de Salut apporté aux pauvres et au service de la rédemption humaine.
Enfin, il s’engage avec amour pour parvenir à une culture de paix, entre autres par l’éducation et tous les moyens qui puissent promouvoir une civilisation de justice et de paix. Il est un visionnaire avant l’heure, accompagnant l’UNESCO qui est engagée dans son objectif de bâtir la paix dans l’esprit des hommes et des femmes d’aujourd’hui.
Il fut aussi précurseur du model de rapport Eglise-monde exprimé par le Conseil Vatican II dans la Constitution pastorale “Gaudium et spes”.
Voici le communiqué de presse en français, en italien et en anglais
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Communique de presse en français
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Communique de presse en italien
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Communique de presse en anglais